Tag Archives: Depeche Mode

Nouvelle Vague

En voilà une bonne surprise ! Nouvelle Vague est de retour pour son troisième album, intitulé en toute simplicité 3. Nouvelle Vague est un projet musical crée par Marc Collin et Olivier Libaux. Les deux musiciens s’entourent de différentes chanteuses et reprennent des morceaux à leur sauce. A la base, le groupe reprenait des chansons de la période New Wave (nouvelle vague donc) en version Bossa Nova (nouvelle vague donc) mais maintenant le répertoire et les genres proposés sont un peu plus larges que précédemment. Parmi les chanteuses présentes on retrouve la charmante Mélanie Pain qui est une habituée de la maison ainsi que la Brésilienne Eloisia, l’australienne Nadeah Miranda et bien d’autres. Quelques chanteurs apparaissent aussi, mais l’album reste très féminin dans son ensemble. Féminin et très sensuel. Un vrai régal. Sur le lot de reprises il y a du bon, du très bon et de l’excellent. Et ça c’est une bonne nouvelle.

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Paléo Festival

Première soirée sur les chapeaux de roues du côté du Paléo Festival avec, en première moitié l'honneur aux dames, puis, dans un second temps, quelques grands flibustiers du rock pour nous convaincre que ce mardi 22 juillet était le bon plan de cette 34ème édition...

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Expatriate

On a souvent parlé du rock indie en ces lignes, parfois pour en dire du bien, parfois du mal. A tort ou à raison jugeront certains. Cette fois-ci nous décidons d’en dire du bien, ce qui plaira à ceux d’entre vous qui vont entrer en 1ère année d’école d’art. Ici et parce que le lectorat aime la comparaison facile, Expatriate fait penser à The Appleseed Cast. Forte personnalité à l’appui, les quatre Australiens sont passé par cette bonne vieille Europe et par les routes US et leur musique s’en ressent : ils savent ce qu’ils font et où ils vont. HOME est un EP 4 titres haut en couleurs. Il y a d’abord "Gotta Get Home". On est tout de suite transporté dans un pays imaginaire, des landes, le vide, le désert, des collines rugueuses comme à l’intérieur de la pochette, et tout ceci à toute vitesse, comme un film super 8, à l’apparence rugueuse lui-aussi, passé en accéléré. Mais l’auditeur est bercé, il voyage, son cœur est balancé par une rythmique quasiment constante. "Blackbird" illustre probablement le mieux la pochette: des collines de soie (probablement un drapeau?) car le contenant, éphémère, glisse délicatement sur nos tympans tandis que le contenu fait penser à l’intérieur de la pochette, mentionné plus haut : construit de guitares tranchantes, acérées, d’une frappe sûre d’elle, la basse ne fait pas que construire le rythme et poser les bases, c’est un instrument de mélodie. Et bien téméraire qui s’aventure à contrer toute cette énergie. Il y a un côté doucement

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Sébastien Schuller

Sébastien Schuller nous rejoint sur la terrasse du Montreux Palace pour un entretien sincère. Personnage discret et aimable, Schuller nous parle de ses nombreuses activités

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Sonic Youth

Formé au début des années 80 en pleine descente de ce qu’on appelait à l’époque la No Wave, Sonic Youth a sorti deux albums de bruit quasiment pur avant de commencer à intégrer ses larsens et digressions soniques dans le cadre de vraies chansons à partir de l’album EVOL (1986) et de culminer

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White Lies

Dès la sortie de leur album TO LOSE MY LIFE…, White Lies est entré dans les premières places des ventes d'albums au Royaume-Uni. Rien d'étonnant à cela, la formation amène un vent d'air frais et de renouveau à la scène rock des années 00. L'album est volontairement sombre, des arrangements musicaux aux paroles en passant par le timbre de Harry McVeigh. Le premier morceau, "Death", annonce la couleur. Influencés par des formations telles que Joy Division ou Depeche Mode pour ne citer que les plus connues, White Lies y ajoute une production technique irréprochable et un côté progressif qui ne déplaît pas. Quelques touches britpop du XXIe siècle viennent relever le tout et conférer un aspect très sautillant à des morceaux exagérément lugubres, à l'image du titre éponyme, paradoxalement digne du meilleur Kaiser Chiefs. Les claviers conviennent parfaitement et donnent une assise et une ampleur qui rappellent le premier album des Killers (n'allez toutefois pas chercher trop de similitudes entre les deux groupes") à des titres comme "A Place To Hide".

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Handsome Furs

Monsieur et madame Handsome Furs ont un fils, comment s’appelle-t-il ? FACE CONTROL. Le petit dernier fait suite à PLAGUE PARK, et nous entraîne également dans un voyage délirant, fait d’une succession de chambres d’hôtel. C’est que le duo de Montréal a passé son temps à tourner, Dan Boeckner (exilé temporaire de Wolf Parade) entraînant sa douce de poétesse sur le continent européen, où réside les sources d’inspiration de ce second album. Agrémenté d’encore plus d’artefacts électroniques dans lesquels les cris de la guitare se noient, boîte à rythme plus saccadée, plus étouffante encore, FACE CONTROL est un clin d’œil – certes critique – à la club culture des pays de l’est, où l’apparence prédomine (comme quoi c’est pas si différente que notre côté ouest). Hommage avant tout aux effluves lo-fi, agrémentées de réjouissances pops, créant une véritable science-fiction sonore, le tout tente de porter une réflexion incisive sur la démocratie sauce russe. Comme quoi les apparences écorchées et minimalistes peuvent cacher bien plus. Mais si les considérations politiques vous emmerdent, il vous sera facile de vous évader dans les rythmes paranos et autres dérapages mélodiques d’"Evangeline" (qui n’est pas sans rappeler un célèbre tube de Depeche Mode…) "Officer Of Hearts" ou "Radio Kaliningrad".

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Moriarty

En entrant dans le Casino – Théâtre, on se dit rapidement que le lieu pourrait parfaitement sied à l’ambiance visuelle si particulière des concerts de Moriarty, mais les sièges laissent un peu songeur. Après tout un concert assis n’est pas tout à fait un concert de rock.

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Depeche Mode

Depeche Mode a interprété en avant-première mondiale son tout nouveau single, intitulé « Wrong », lors de la cérémonie de remise des Echo Awards en Allemagne ce week-end. « Wrong …

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Moriarty

Charles, le guitariste du groupe Moriarty passait son temps à….travailler. Question de statut : les six voire sept membres de ce groupe hétéroclite font toujours de la musique comme un passe-temps

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