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Anthony (rédacteur en chef, chroniqueur, tyran) : Si Lords of Rock était un château, on pourrait dire qu'Anthony est un des artisans ayant posé les premières pierres. Si maintenant l'édifice est terminé, cela ne l'empêche pas de fignoler quelques détails et mettre deux ou trois guirlandes pour égayer. Désormais rédacteur en chef, il motive les troupes et donne des coups de bâton quand ça ne va pas (mais les rédacteurs adorent ça). Féru de grosses guitares mais aussi de grands classiques de la musique francophone comme Céline Dion et Bézu, Anthony possède une des plus belles discographies du canton de Vaud. Mais pour la voir il faut d'abord trouver sa grotte, perdue au beau milieu des montagnes Suisses. Oui, Anthony vit isolé du monde depuis la séparation des Forbans en 1995.

Dave aka Djorge (dessinateur qui chronique… en dessinant) : Passionné par la reproduction des coléoptères d’Asie du sud est et par la fabrication de confiture néerlandaise, je participe contre mon grès (je tiens à préciser) à cette contrebande musicale qu’est Lords of Rock. Du reste, si quelqu'un pouvait me libérer de ce lourd fardeau et casser mes chaînes de chroniqueurs que je puisse à nouveau retrouver la colline verdoyante de Walnut Grove et enfin me taper Nelly Olson. En fait, je vous ai dit que je déteste la musique et les artistes en général. Ils feraient mieux d’aller bosser au Mc Do ou à la poste, il y aurait peut-être moins de queue d’attente !

Lisa (chroniqueuse, enfin, c'est ce qui se murmure) : Si Lords of Rock était un château, Lisa serait en haut de la Tour principale à guetter l'arrivée de certains chanteurs (Damon, Alex, bonjour) et guitaristes (Graham si tu nous lis !). Connue pour être dingo de Blur, Arctic Monkeys, The Coral, R.E.M., The Beach Boys, couinant à la moindre alerte concernant Nada Surf, Depeche Mode, M83, Bill Ryder-Jones et consorts, elle reste le dinosaure de l'équipe malgré la dictature jeuniste établie ! Étant assez vieille pour avoir vu Nirvana à Reading en 1991 (et Blur), elle continue à arpenter les festivals au grand dam des petits jeunes qui se demandent bien pourquoi les vieux ne sont pas tous en maison de retraite !

Sandrine (chroniqueuse qui prend des photos aussi !) : Douce gnômette des Alpes, Sandrine gambade en montagne mais ne trébuche pas pour autant en plaine. Elle rugit sur les festivals comme elle philosophe sur les albums de paroliers post-pubères, d'instrumentistes accomplis ou encore de déjantés hystériques. Aguerrie, furtive, elle n'hésite pas à prendre sa place dans la fosse à flash comme Gimli dans la bataille. Cependant elle préfère encore le métal de la hache de ce dernier aux vociférations distordantes des gros bourrins métalleux. Ce sont plutôt les sons acoustiques folk rock qui éveillent ses sens et désinhibent son sex appel afin de se rapprocher au plus près de l'écume musicale. Dans sa première jeunesse, elle tirait l'archet et dégoupillait de la Barbar en faisant danser des hordes de Celtes. A présent, accoudée au bar, elle préfère immortaliser et disserter sur des Vikings puants et transpirants sur scène.

Damien (chroniqueur, homme à tout faire, surtout les mojitos) : Alors… Damien… Disons que c'est certainement le plus dégueulasse de l'équipe. Non pas par ses origines ibériques, mais plutôt par son attitude. Mal rasé, mal coiffé, mal habillé, et en plus musicalement il est capable d'aimer à la fois de la musique de midinette (Michel Delpech et Indochine) et des sons plus cradingues dans la limite de l'écoutable comme King Gizzard, Ty Segall et autres artistes juste bons à grattouiller les cordes dans tous les sens et chanter en avalant le micro. Il fait beaucoup de choses, enfin surtout donner des ordres aux rédacteurs français, son but étant de prouver aux helvètes de Lords of Rock que les Français sont les meilleurs. Il veut être calife à la place du calife quoi. Autre fait amusant, vous remarquerez qu'il arrive à placer dans chaque interview qu'il est allergique aux sulfites. Genre le mec aime le rock mais pas la bière… Salopard.

Emilie (photographe, groupie, chroniqueuse à ses heures perdues) : Originaire de France-Comté, Emilie affectionne uniquement deux choses dans sa vie : la cancoillotte et la saucisse de Montbéliard. A côté de ça elle déteste tout le reste. Elle n'aime ni les jeunes, ni les vieux, ni les festivals bondés, ni la musique trop bruyante, ni la bière tiède, ni les fans hystériques devant leur groupe fétiche capables de faire des coeurs avec leurs mains pour leur témoigner leur amour… Du coup il fallait qu'on lui trouve un rôle, Emilie se contente de prendre des photos tout en narguant le public, parce que elle, elle est plus proche du groupe au moins. Ah si, elle chronique des albums aussi. Enfin les albums d'un seul groupe, Billy Talent. Ce qui nous fait une bonne moyenne d'une chronique tous les trois ans. Productive la nana ! Surtout si vous la croisez en concert, fuyez, personne ne sait de quoi elle est capable.

Marie (chroniqueuse, rookie de l'équipe) : Dans chaque équipe il y a un ou une jeune. Sur Lords of Rock c'est Marie qui assume ce rôle. Il faut dire que l'ex-adolescente est entourée de personnes plus ou moins matures (plus moins que plus plus). Manque de pot pour elle, elle récupère tous les albums que les autres rédacteurs ne veulent pas, les trucs un peu mous du genou comme Half Moon Run, George Ezra et autres Rostam Batmanglij. Le pire c'est qu'elle adore et qu'elle en redemande. Il nous fallait un quota de hippie, nous l'avons avec Marie. Ah une petite précision. son amour pour Céline Dion et autres chanteuses à voix l'a poussée à traverser l'Atlantique pour atterrir au Québec, belle province à accent bizarre…

Dorine (chroniqueuse, babacool à l'ancienne) : Si Dorine faisait encore ses preuves en 2013, on peut maintenant officiellement déclarer que sa période d'essai est terminée. A ses débuts, la néo-parisienne tentait de laisser de côté ses années lycée durant lesquelles elle n'avait d'yeux que pour As de Trêfle, Merzhin et Debout sur le Zinc, mais le passé l'a rattrappée. Dorine voue à nouveau un culte au sonorités celtiques, tziganes et tout ce que vous écoutiez quand vous séchiez les cours plutôt que de réviser les annales du BAC. Bien sûr, on lui colle de temps à autre un album avec de la guitare électrique, mais son sale caractère de vendéenne (pléonasme) nous incite plutôt à lui laisser la couverture du prochain Fatals Picards.

Lise (chroniqueuse aiguë, photographe chronique) : Si Lords of Rock était un château, Lise décrocherait le pont-levis pour fuir cheveux aux vents contraires à tous les festivals de plus de 1000 mètres d'altitude (ceci est un critère de sélection autistique assumé). Les princesses très peu pour elle. Elle préfère pavaner ses docks dans la moiteur de la boue et l'étreinte de la braise avec pour toile de fond quelques meuglements bovins. Fascinée depuis sa plus tendre enfance par la langue d'oïl et le patois jurassien, elle voue un culte frénétique aux mots. Elle ne supporte donc pas ceux qui causent pendant que d'autres chantent ( lui faisant louper l'oxymore de fin de refrain) mais sera la première à vous faire des théories dithyrambiques sur le rock à guitares, le ska à contretemps et le blues à cafard. Bercée tant par ACDC que Brel, la puce à l'oreille, l'œil vif et l'engagement à bras le corps, elle est à l'affût des apatrides musicaux œuvrant pour la non-extinction des vinyles et de la scie musicale. Dotée d'un optimisme pêchu, filez-lui votre album si vous avez besoin d'un peu de poésie dans ce monde de brutes barbus.

Sedastian (chroniqueur, goûts douteux, bouffeur de choucroute) : Non Sedastian n'est pas son vrai prénom, ses parents n'étant pas timbrés à ce point pour l'affubler d'un tel blase. C'est uniquement un pseudonyme créé de toute pièce en hommage à un groupe de J-pop… Enfin bref, ce type là chronique quelques albums, son principal problème (hormis ceux liés à l'alcool et la drogue) étant d'avoir autant d'affection pour du métal bien bourrin à la Five Finger Death Punch que pour  de la soupe signée Madonna. Comment voulez-vous être crédible aux yeux de la rédaction avec un comportement pareil ? Le pire c'est que Sedastian se trimballe dans les concerts de La Madone vêtu d'un t-shirt Lords of Rock. C'est certainement à cause de ça que Napalm Records ne veut plus entendre parler de nous. Quel enfoiré.

Cédric (chroniqueur, actionnaire majoritaire chez Ovomaltine) : Cédric est un membre de la division suisse de Lords of Rock, autre nom de la section locale des alcooliques anonymes. Il a réussi à se faire pistonner par Anthony lui-même. En effet, c'est déchiré qu'il s'est pointé à l'entretien d'embauche pour y improviser une chronique sur Lana Del Rey ; ce qui confirme le fait qu'il a été engagé sur un malentendu… On aura compris que son pêché mignon est la dive bouteille ! D'ailleurs si Lords of Rock était un château, vous ne l'y trouveriez pas. En effet, il serait dans une quelconque taverne à l'autre bout du continent une chopine ou un verre de rouge à la main pour assister à la performance d'un groupe mythique selon lui, expliquant à qui veut bien l'entendre – ou pas – pourquoi le groupe est absolument génial, parfois plus pour s'en convaincre lui-même, avant d'abandonner et de commander à nouveau à boire. Ce qui fait que parfois il oublie quels morceaux ont été joués. Mais il est content quand même ! Ses goût musicaux ? Un peu de tout du moment que c'est bien fait, ce qui est bien évidemment sujet à interprétation… Rock, blues, jazz, metal, électro ou encore folk : du moment que c'est écorché, brut, tripant et un peu (voire beaucoup) mélancolique et triste.

Sarah (chroniqueuse à ses heures, glandeuse, et oui, Gland est un village ! et bourlingueuse à l’occas') : Ainsi, elle a notamment fait la groupie avec la jeunesse birmane devant les rockeurs d’Ironkross, le groupe le plus hipster du pays, elle s’est extasiée dans la steppe mongole devant des as du chant diphonique, et, dans les anecdotes moins glorieuses, elle a aussi fui devant des chauffeurs de taxis ivres vociférant les Cœurs de l’Armée Rouge au fin fond des montagnes kirghizes… Mais ses goûts musicaux sont variés, tant que la qualité est au rendez-vous (enfin, question de bon goût). Elle peut donc autant brailler en concert les textes de Rammstein (ha, paléo 2005…) que se déhancher devant Skip the Use ou Queen Omega, ou verser une larme à l’écoute de In Rainbows (si, si, le plus bel album de Radiohead)… quoi qu’il en soit, ses origines prennent souvent le dessus et c’est un verre à la main, sur sa terrasse, un bon album à l’écoute, qu’elle passe le meilleur de son temps.

Jérôme (chroniqueur, musicien, disciple) : Alors lui, c'est notre spécialiste blues. Enfin il est aussi notre spécialiste métal. Pour être honnête avec vous, et on espère que vous ne lui répéterez pas, Jérôme est surtout le mec à qui on file tous les trucs bizarres, on l'envoie sur les concerts que personne d'autre ne veut couvrir et le pire c'est qu'il adore ça. On enrobe un peu histoire d'embellir les choses à chaque fois, on invente une excuse solide et on lui refile le bébé. Il a ainsi pu assister au retour sur scène de Kyo il y a quelques années. De temps en temps on essaye de lui attribuer des tâches plus valorisantes, mais il ne semble plus pouvoir faire la différence. Il aura autant de plaisir et d'envie pour chroniquer le dernier Linkup, que pour couvrir le Download Festival. La légende raconte qu'il gratouille quelques cordes au coin du feu et ailleurs, mais on imagine bien que c'est simplement pour l'aider à choper. Comprenez le, avant ça il jouait du kazoo…

3 comments

  1. Bonjour,

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    Cordialement.

  2. Damien Rodrigues

    Hello Jonard !

    Je t'invite à envoyer tout ça directement à [email protected]

    A très vite

    Damien
     

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