Tag Archives: Neil Young

Pearl Jam

Décidément… l’automne 2011 aura été un revival grunge de Seattle. Les 20 ans de NEVERMIND, les nombreux reportages, les rééditions deluxe et tout le marchandising qui va avec… Alors que …

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Herman Dune au Romandie

  Avec son nouveau disque STRANGE MOOSIC et la création de son propre Label du même nom Yaya Herman Dune revient à Lausanne accompagné de son groupe pour nous offrir un …

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Kurt Vile

SMOKE RING FOR MY HALO marque l’explosion de Kurt Vile, les canards musicaux entrant en compétition pour le célébrer le plus langoureusement possible. On ne cesse aussi de signaler qu’il est …

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Josh Ottum

Il est un fait certain : Josh Ottum prend son temps ! Ce que l’on peut noter, c’est que le garçon n’est pas pressé de produire des albums ; Après un premier …

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Sélection de nouveautés à découvrir

Notre coup de cœur de l’année dernière revient avec une édition Deluxe de son magnifique premier album PHILARMONICS. Agnes Obel qui nous avait fait le plaisir de venir au Bleu-Lézard …

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Dolorean

Pour les références, les ressemblances artistiques et les inspirations, on dit qu'il y'a un peu de Neil Young dans ce Dolorean, voir une dose de REM, surtout lorsqu'on parle de …

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Navel

Impression confirmée d’entrée avec le ténébreux "Can’t Feel a Thing", la locomotive est alors lancée et ne s’arrêtera plus. La basse est lourde, la guitare et la voix sont distortionnées : le trio fait dans un garage-rock aux agréables relents de blues. L’harmonie du « Speedbox » qui suit n’en dément pas et ajoute une petite touche plus aérienne. Avec un "Black Days" à la mélancolie plus affirmée une transition commence à opérer et aboutira sur la rupture de "Acid Queen" et "It’s the Road that Makes the Song". Après la saturation des débuts, Navel nous offre un visage que l’on percevait déjà ça et là : un rock plus psyché et planant (mais aussi acoustique) qui rappelle que la chimie est peut être l’échappatoire aux pensées obscures. On redécolle avec "Free Land", enchainé par un étrange "Invisible" inspiré des haltes du groupe à Austin, la mecque du rock psychédélique texan

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Nail Eaters

Petite interrogation métaphysique : le Désert du Nouveau-Mexique peut-il se téléporter dans le Gros-de-Vaud ? Plus prosaïquement…Lors de leur reformation, Kyuss auraient-ils débarqué à Dommartin pour monter un super-groupe avec Accept, Neil Young et les Dead Kennedys ? A l’écoute de cet EP de Nail Eaters, enregistré dans un abri PC du village, l’absurdité de ces questions n’est plus si évidente… Nail Eaters c’est la rencontre de quatre types aux influences diverses : stoner, psyché, grunge et garage-rock et la volonté d’en proposer une synthèse…avec le desert rock (stoner) comme fil conducteur. Le morceau d’entrée "Boulevard" nous le confirme, on débute avec une épique traversée dans les déserts de l’âme... du vrai stoner : basse lourde, rythmes hypnotiques, musique pseudo-cyclique merveilleusement garnie par la guitare solo, on se demande quel est l’effet des champignons du côté de Dommartin et on aime !

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The Failures

Après une longue absence, The Failures is back ! Le groupe de Soleure a en effet pris du bon temps durant une dizaine d’années avant de se remettre au travail pour la sortie de CHEAPEST ROCK. Et s’il a fallu autant de temps aux soleurois pour se retrouver et repartir dans l’écriture d’un nouvel opus, cela valait le coup d’attendre. Le résultat est très bon pour un groupe qui ne se prend pas la tête, mais qui au contraire se contente de jouer du rock, juste par amour de la musique. Le groupe de Soleure a néanmoins un passé étonnant, et n’oublions pas qu’il faisait partie des poids lourds du rock suisse. En effet, le groupe a de nombreux albums derrière lui depuis sa formation en 1987. Les tournées européennes et américaines ont rythmés le quotidien de nos helvètes dans les années 90

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The Shutes

Lords of Rock présente en général des albums « physiques ». Cette fois néanmoins, il y aura exception à la règle et sortie des sentiers battus. Gros coup de coeur oblige et parce que je leur dois cet article: petite review du premier EP de The Shutes: Hits Like Mourning. Tout commençait il y a deux ans à Vienne au concert des Bishops. En première partie le trio de l'Ile de Wight et son chanteur à la voix d'ange... The Shutes me dit-on. Peu connu, c'est le cas de le dire, leur musique n'est même pas téléchargeable et ils ne comptent qu'une centaine d'amis Myspace à l'époque. Et pourtant, leur musique hypnotise. Le chanteur-guitariste Michael Champion sans bien savoir pourquoi il est sur cette scène semble encore moins se rendre de l'effet produit sur les spectateurs. Il garde les yeux au ciel. La foule, elle, retient son souffle. Jusqu'à aujourd'hui, aucun événement musical n'a surpassé celui-ci. Une mod

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