Tag Archives: Seattle

Pearl Jam

Encore un live de Pearl Jam??? Ouais, mais celui-là c’est quand même différent, c’est un vrai live, 100% officiel et tout. Bon Ok, les autres étaient aussi officiels, mais c’est pas pareil. Ca c’est un vrai de vrai qu’on retiendra dans la discographie, c’est une sorte de best of live. C’est clair ?

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Disco Doom

Quand Nevena rencontre Anita. Où quand notre reporter de Nyon rencontre la guitariste d'un des groupes poids lourds de la scène indé helvétique, Disco Doom. L'histoire d'une entrevue qui se

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Sonisphere Festival

Quelle affiche! Pour toutes les personnes qui ont écouté du metal dans les années 80 et 90, cette affiche du Sonisphere Festival dépasse l’entendement. Imaginez donc, le Big Four réuni en une journée. Le Big Four ? Metallica, Slayer, Anthrax et Megadeth considérés comme les pionniers du trash metal américain. Rien que pour ces groupes l’affiche est incroyable. Mais attendez, histoire de compléter joliment la programmation on retrouve entre autre Motorhead, Bullet For My Valentine, Stone Sour ou encore Alice In Chains. Impressionnant.

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Arcade Fire

Il vous manquait un petit quelque chose pour que votre journée soit réussie? Hé bien, je vous offre le bouquet final! Tenez-vous bien, deux titres, du tant attendu nouvel Arcade …

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Taylor Hawkins & The Coattail Riders

Second opus du groupe Taylor Hawkins & The Coattail Riders, ce Red Light Fever et une apologie du power chord. Un album rock, oui, avec tout ce que le terme rock peut comprendre. Développement avec un nouveau venu dans la maison. Sans connaître et au vu de la configuration (guitare, basse, batterie), on aurait pu s'attendre à un album grunge et pêchu, ou simplement modeste. C'était sans compter des invités de marque et une production archi-léchée. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce second album commence en grande pompe. Nul besoin d'écouter plus de trente secondes pour sentir le « trop-plein ». "Not Back Luck", titre introductif, annonce vite la couleur, à en juger son introduction. La suite est lourde et bien posée, une section rythmique carrée et rentre dedans. Le refrain survient en bourreau, les chœurs à la Queen se font leur place. Puis solo de guitare. Les guitares d'ailleurs, on en entend au moins trois ou quatre suivant les morceaux. Distortions ultra compressées et solos fitness sont le plat de résistance. Ça nous éloigne encore un peu du trio type garage. Assemblant des structures rock tout au plus basiques et des fioritures omniprésentes à la guitare, le groupe maintient toutefois une cadence puissante et exaltée, alternant entre passages calmes et passages plus destructifs. Guest stars de l'album, Brian May (Queen), Dave Grohl (Nirvana, Foo Fighters) et Roger Taylor (Queen) font la part belle au rock lourd et hi-fi qui parsème la galette (à noter que Taylor Hawkins n’est nul autre que le batteur des Foo Fighters, batteur-chanteur ici avec les Coattail Riders).

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Dead Confederate

Comme souvent en Europe, nous sommes en retard… Un an et demi que l’album WRECKING BALL de Dead Confederate est sorti aux USA et c’est seulement maintenant que l’on découvre ce groupe d’Athens en Géorgie (fief de REM). Par contre, quand il s’agit de nous envahir avec les merdes que l’on voit sur MTV, l’Europe devient un marché intéressant. On connait bien les enjeux monétaires liés à la distribution, mais c’est souvent frustrant de n’être vu que comme un gros porte-monnaie. Malgré ce retard de quelques mois, restons optimiste et voyons le bon côté des choses : nous pouvons au moins apprécier Dead Confederate et ils ont à la chance d’être distribué par chez nous contrairement à bons nombres de groupes encore inconnus.

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Rocky Votolato

Folk You ! Encore et toujours du folk, on sent un second souffle pour la musique de Dylan ces derniers temps. Les grattes sèches et acoustiques remplaceraient-elles les guitares électriques ? En tout cas, Rocky Votolato n’a pas attendu cette nouvelle vague pour jouer du folk rock. Ce Texan d’origine sillonne les routes et concocte des albums depuis plus d’une dizaine d’années. Il a aussi fondé le groupe Waxwing du côté de Seattle avec notamment son frère Cody Votolato. Ce dernier était connu pour être membre du regretté groupe de post hardcore The Blood Brother. Il joue actuellement avec le groupe Jaguar Love.

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Retribution Gospel Choir

Whaoouu…. Avec un nom comme celui-ci, difficile de passer inaperçu. Encore que… Ce nom original n’est pas encore sur les lèvres de Monsieur et Madame Toulmonde. Et pour cause, ce groupe américain n’est pas des plus connu par ici, mais pourtant on y retrouve quelques têtes connues. En effet, à son bord Alan Sparhawk et Steve Garrington respectivement chanteur-guitariste et bassiste du groupe Low. Si Low est actif depuis plus de 15 ans, le side-project Retribution Gospel Choir (R.G.C) n’est qu’à ses débuts et sort en ce début d’année son deuxième album intitulé « 2 » en toute humilité.

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Expatriate

Après avoir écrit une chronique plus qu’élogieuse sur le premier EP paru en Europe (HOME), nous avons reçu l’album à paraître sous peu, IN THE MIDST OF THIS. Descendu en flammes par nos confrères de Daily Rock

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Telekinesis

Il y a depuis (presque) toujours une vraie tradition de la power pop à l’américaine, mettons de Big Star à Ben Folds Five en passant par Cheap Trick, les Posies ou même Weezer dans ses moments les moins ‘metal’. C’est dans cette prestigieuse lignée que s’inscrit Michael Benjamin Lerner, l’homme qui se cache à lui tout seul derrière le pseudonyme collectif de Telekinesis. Dans ses clips, Michael Benjamin Lerner a une bonne tronche de geek (ce genre de mecs qui passent leur vie chez eux derrière leur ordinateur et qui n’ont généralement jamais approché une fille à moins de 4 mètres). En tout cas ce qui est certain, c’est que pendant ses longues nuits passées à jouer à World of Warcraft, il a dû écouter beaucoup de musique. Une telle maîtrise de l’écriture, de la mélodie, de l’arrangement, ça ne tombe sûrement pas du ciel. L’album commence avec une jolie petite ballade mélancolique et acoustique, "Rust", et enchaîne avec l’excellent "Coast of Carolina", qui débute lui aussi avec une petite guitare sèche visiblement enregistrée au fond du garage et qui voit débouler de grosses décharges électriques sur le refrain. Placé derrière, le frénétique "Tokyo" poursuit dans la même veine ‘power pop ensoleillée et ultra mélodique’. Les guitares électriques sont toujours présentes sur "Look To The East", peut-être le meilleur morceau du disque, tandis que "Awkward Kisser" est, lui, basé sur un accompagnement au piano et débouche sur un surprenant refrain haut perché, et que "Foreign Room" reprend le schéma ‘intro cool et acoustique / électricité énervée ensuite’.

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