Tag Archives: Nice

Bo

Que sait-on sur Bo ? Pas grand chose en fait, on sait qu’il est parisien (il se définit d’ailleurs comme un songwriter-crooner-pop-trentenaire-parisien), qu’il a déjà sorti deux albums, 323 ZAP SHANGAI …

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Jim Jones Revue

Après des mastodontes comme les Vieilles Charrues et la Garden Nef Party en 2009, les Londoniens foulaient la scène du petit festival Rockailles, qui ne manquait pas d'arguments avec

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Nice Nice

Et hop, une bose dose de rock indé. Avec leur album Extra Wow, le groupe de Portland, Oregon, dénommé Nice Nice est la bonne surprise de ce printemps.

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Iggy Pop

Impossible de mettre cinq étoiles à un album de l'iguane car c'est dans ses gènes, le Pop est un simple être humain et l'erreur est humaine, dont acte ! Voici bientôt près de quarante ans qu'Iggy Pop se joue de nous comme une entraineuse; la langue pendante nous restons car jamais nous ne pourrons complètement consommer. Ce trop, ce " too much " donc que Pop balance à chaque nouvel album sans que l'on sache réellement s'il s'agisse de lard ou de ( gros ) cochon... Tout le monde connait l'histoire entourant cet album alors passons au contenu. Les "Feuilles Mortes", ouais forcément, enfin, depuis combien de temps attendons nous qu'Iggy chante en français ce répertoire qui nous est classique. Quelques arrangements pop/jazz et le tout est joué sans pour celà devoir appeller Béatrice Ardisson et ses compils Paris Dernière. "I Want to go to the Beach", beau à pleurer où une excuse pour aimer les soirs de cafard, tout seul à se morfondre devant un verre de rouge dans son immeuble de centre ville. "King of the Dogs", "New Orleans Trivial", trop facile pour notre homme et clip horrible qui fera plaisir aux rockers bobos, si si y'en a j'en ai vu ! "Je sais que tu sais / She's A Business" : beat mid tempo comme sait les faire notre Iggy quasi national avec ses relents de nuits ardissoniennes ( encore une fois ), pour tous ceux qui ont vécu les années Bains de Minuit... "Spanish Coast", pur chef d'oeuvre de tension agréable et d'une existence qui ne demande qu'à se clore au soleil où la fin est tellement meilleure d'ailleurs le morceau suivant s'appelle "Nice to be Dead" !

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Stereophonics

Stereophonics est un trio de gallois, formé dans les années 90, autour de Kelly Jones, auteur, guitariste et chanteur. En 1997 sort leur premier album WORD GETS AROUND, gros succès, et cinq autres suivront jusqu’en 2007, plus un live. Les trois gallois sortent aujourd’hui un best-of, en un CD ou 2 CD. La musique de Stereophonics est essentiellement tournée vers les guitares, saturées si possible, sans pour autant vous écorcher les oreilles. Si on devait chercher des influences, on pourrait aller renifler du côté de Nirvana (en moins trash) comme sur "My Own Worst Ennemy" avec cette voix éraillée et traînante, poussée assez fort, un côté U2 (celui des débuts), ou Oasis dans "More Life In A Tramps Vest" (en moins pompeux). Et bien sûr comment éviter les clins d’œil à l’œuvre des Fab Fours période DOUBLE BLANC, plus précisément à John Lennon, comme dans "Mr Writer". Sans rien révolutionner, Stereophonics enchaine des morceaux vifs, carrés, assez courts. Pas de grandes envolées lyriques ni de solos à rallonge, mais des morceaux tantôt rock ou pop, efficaces. Et on ne peut pas ne pas citer quelques bijoux comme "Have A Nice Day", et ce petit chef d’œuvre de "Maybe Tomorrow", chanson après laquelle les Stereophonics peuvent crever avec le sentiment du devoir accompli.

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Stereophonics

A moins d'une heure de rentrer sur la scène du Caribana, les Stereophonics nous laisse partager avec eux l'ambiance du festival et de leur tournée de Pull The Pin, leur dernier album. Javier Weyler, batteur, nous confie ses impressions sur le groupe et la tournée. Par la suite, le groupe se livrera à un show incroyable au volume sonore maximal.

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