My Latest Novel est issu d’une culture pop-rock. Le nouvel album de ce groupe écossais Death and Entrances, est produit par le label Bella Union, celui-là même des Fleet Foxes. Ce second album passera certainement moins inaperçu que leur premier essai : Wolves sorti en 2006. Dès les premières notes du premier morceau, je me sens devenir conquise : la voix ressemble fortement à celle de Matt Berninger (The National) l’instrumentation rappelle le fameux groupe canadien Arcade Fire. Un mélange étonnant qui marche à merveille sur ce début d’album. « All in All in All Is All » a la lourde tâche d’ouvrir l’album. Tâche qu’il réussit très bien en montrant toute l’étendue de l’instrumentation. Un peu délicat pourtant de mettre le meilleur morceau en premier, car l’auditeur sera rapidement déçu par les morceaux suivants. « Dragonhide », la piste 02, ne présente aucune cohérence : l’impression que deux titres se superposent sans jamais se rejoindre demeure tout le long de la chanson. Le point culminant de ce cafouillage contrapuntique arrive à 2min47. La piste 03 « Lacklustre » est plutôt agréable à l’écoute bien qu’elle manque d’un petit je-ne-sais-quoi (enfin si, je sais : du peps) pour être vraiment bonne. « I Declare A Ceasefire » devrait ravir les fansgentil rock : impossible de ne pas souligner à nouveau l’étonnante ressemblance avec The National. Les deux morceaux centraux « Argument Against The Man » et « Man Against The Argument » fonctionnent comme un dyptique : une vague de voix humaines orne toute la première partie. La deuxième joue le rôle de fin instrumentale peu virtuose et peu intéressante. En somme, ce deuxième album ne montre rien de vraiment nouveau, rien d’original et rien de très pêchu. Beaucoup de riens qui ne servent qu’à exprimer la nostalgie de leur premier album : plus frais et original. Peut-être vaudrait-il mieux attendre un troisième album pour se faire une « bonne » idée ? La réponse de Monsieur B. est sans appel : « Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? »

My Latest Novel

Nouvel album du groupe écossais, Death and Entrances, produit par le
label Bella Union, celui-là même des Fleet Foxes. Ce second album
passera certainement moins inaperçu que leur premier essai : Wolves
sorti en 2006.

 

Dès les premières notes du premier morceau, je me sens devenir conquise : la voix ressemble fortement à celle de Matt Berninger (The National) l’instrumentation rappelle le fameux groupe canadien Arcade Fire. Un mélange étonnant qui marche à merveille sur ce début d’album. “All in All in All Is All” a la lourde tâche d’ouvrir l’album. Tâche qu’il réussit très bien en montrant toute l’étendue de l’instrumentation.
Un peu délicat pourtant de mettre le meilleur morceau en premier, car l’auditeur sera rapidement déçu par les morceaux suivants. “Dragonhide” ne présente aucune cohérence : l’impression que deux titres se superposent sans jamais se rejoindre demeure tout le long de la chanson. Le point culminant de ce cafouillage contrapuntique arrive à 2min47.
La piste suivante , “Lacklustre” est plutôt agréable à l’écoute bien qu’elle manque d’un petit je-ne-sais-quoi (enfin si, je sais : du peps) pour être vraiment bonne. “I Declare A Ceasefire” devrait ravir les fans gentil rock : impossible de ne pas souligner à nouveau l’étonnante ressemblance avec The National.
Les deux morceaux centraux “Argument Against The Man” et “Man Against The Argument” fonctionnent comme un dyptique : une vague de voix humaines orne toute la première partie. La deuxième joue le rôle de fin instrumentale peu virtuose et peu intéressante.

 

Rien de nouveau

 

En somme, ce deuxième album ne montre rien de vraiment nouveau, rien d’original et rien de très pêchu. Beaucoup de riens qui ne servent qu’à exprimer la nostalgie de leur premier album : plus frais et original. Peut-être vaudrait-il mieux attendre un troisième album pour se faire une « bonne » idée ? La réponse de Monsieur B. est sans appel : « Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? »

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One comment

  1. bah
    T’as pas été si méchante que ça, finalement.

    Je partage ton opinion : passé la première chanson, y’a plus grand chose à quoi se raccrocher.

    A quand la critiques des dirty projectors ?

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