Fini les imbroglios politico-financiers, compte tenu de la beauté de l’endroit et des possibilités offertes par cette relique de l’expo 02. L’attente est bien présente. Quoi de neuf pour cette année, plutôt cette nouvelle saison qui s’annonce sous de relativement bons auspices, tout en écartant de la santiag certains artistes.

Cet automne aux Docks

Fini les imbroglios politico-financiers, compte tenu de la beauté de l’endroit et des possibilités offertes par cette relique de l’expo 02. L’attente est bien présente. Quoi de neuf pour cette année, plutôt cette nouvelle saison qui s’annonce sous de relativement bons auspices, tout en écartant de la santiag certains artistes.

Pour les poilus/es à l’affut de la moindre trace d’huile ou de graisse provenant d’un honorable Kenworth, orné d’un aigle survolant le grand canyon, l’endroit n’est peut-être pas le lieu idéal pour s’abrutir devant une explosion de hard. Pour les autres, cet endroit est le vôtre, car cet automne les choses bougent sur une voie intéressante.

Le 21 septembre, premier arrêt pour deux combos suédois: Shout Out Louds et The Concretes, pour passer une soirée brit-pop accrocheuse. C’est toujours mieux que d’écouter un best-of d’Oasis. Belle affiche encore le 25 avec The Ravonettes, qui proviennent également de Scandinavie et sont arty, donc sortons les slim rouges et plissons nos cheveux de sorte à se sentir vivre. De plus l’échauffement sera ordonné par Perrine et les Garçons. Dimanche 21 octobre, la pluie et la brume tomberont sur les Docks pour le concert de Miossec, qui fait de la chanson française, mais différemment et beaucoup mieux en comparaison avec la nouvelle scène de la chanson française, comme les bonnards Delerm et autres Benabar. Samedi 27 octobre sera une bonne leçon de gym avec une décharge électrique sans court-jus orchestrée par !!! dont on a beaucoup parlé cet été, et surtout beaucoup apprécié la leçon de disco-punk (une étiquette parmi tant d’autres). Ce soir-là, prions encore pour les ricains de Holy Fuck. Le lendemain, moment important avec les anglais de The Rakes, qui ont sorti cette année un excellent cru, à ne pas manquer. Fin novembre, les frangins de Kill The Young seront la dernière grosse attraction d’un automne arraché, avant d’éteindre la lumière et de déguster une bûche de Noël bien méritée.

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