Tout droit venu du pays des caribous, The Russian Futurists nous propose une musique pas plus russe que futuriste. Plutôt une pop ambiance seventies saupoudrée d?un bon beat et relevé par quelque procédé électronique.

The Russian Futurists

Tout droit venu du pays des caribous, The Russian Futurists nous propose une musique pas plus russe que futuriste. Plutôt une pop ambiance seventies saupoudrée d’un bon beat et relevé par quelque procédé électronique. À peine le CD dans le lecteur, on se retrouve plongé dans un décor musical particulier, voir même surréaliste. «C’mon» n’est pas sans rappeler les Beach Boys, mais bien plus que du groupe californien roi de la surfmusic, c’est de Paul Simon que s’inspire Matthew Adam Hart. Il ne s’en cache d’ailleurs pas, puisqu’une chanson porte son nom. La plupart des titres sont assez calmes, quoique bien rythmés.
Parfois le côté instrumental prend le dessus, comme dans «Still Life», où les cuivres s’imposent. Mais là ou cet album se distingue, c’est lorsque l’on apprend que Matthew fait tout entièrement seul, grâce à l’informatique. Me, Myself and Rye est d’un style très particulier, quelque chose de différent de ce que l’on entend d’habitude. On peut néanmoins reprocher à son créateur son côté un peu répétitif qui le rendra lassant auprès de beaucoup.

Une sélection Lords of Rock:

About Author

Check Also

Judas Priest – Invicible Shield

Il y a tout juste un mois, sortait le 19ème album de Judas Priest. À …

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *