Focus aujourd’hui sur A. Swayze & The Ghosts. Si tu ne connais pas encore ce groupe originaire de l’Australie profonde (Hobart en Tasmanie plus précisément), sache que nous non plus et tu vas apprendre à les aimer. Andrew Swayze a décidé il y a quelques années de rappeler ses anciens potes de lycée pour faire un boeuf, et plus si affinités. Au final ça donne un savant mélange de garage qui tangue vers le punk sans pour autant devenir cradingue. Ils se disent d’ailleurs eux-mêmes influencés par les Stooges, les Ramones et autres modèles du genre. Leur dernier single “Connect To Consume” est sorti fin août, et on peut espérer un premier album dans les mois à venir. Du pays des kangourous, on connaissait déjà des groupes un peu déglingos comme Dune Rats ou DZ Deathrays, il y a désormais A. Swayze & The Ghosts, qui est légèrement plus propre sur lui, mais pas moins explosif.
Chroniqueur, homme à tout faire, surtout les mojitos : Alors… Damien… Disons que c’est certainement le plus dégueulasse de l’équipe. Non pas par ses origines ibériques, mais plutôt par son attitude. Mal rasé, mal coiffé, mal habillé, et en plus musicalement il est capable d’aimer à la fois de la musique de midinette (Michel Delpech et Indochine) et des sons plus cradingues dans la limite de l’écoutable comme King Gizzard, Ty Segall et autres artistes juste bons à grattouiller les cordes dans tous les sens et chanter en avalant le micro. Il fait beaucoup de choses, enfin surtout donner des ordres aux rédacteurs français, son but étant de prouver aux helvètes de Lords of Rock que les Français sont les meilleurs. Il veut être calife à la place du calife quoi. Autre fait amusant, vous remarquerez qu’il arrive à placer dans chaque interview qu’il est allergique aux sulfites. Genre le mec aime le rock mais pas la bière… Salopard.