Comment vous êtes- vous connus ?
Quand Franz a décidé de partir, nous avons fait un casting pour trouver le reste du groupe. Mais Franz Vicious était juste allé acheter des clopes…Alors nous l’avons viré.
Si votre musique devait se résumer à une seule phrase, quelle serait-elle ?
Merci d’avoir posé une question d’une telle envergure, nous avons toujours rêvé d’y répondre.
Vous avez une fille dans le groupe, ménage à quatre?
Non, on fait seulement de la musique à quatre, mais on n’habite pas ensemble.
Votre philosophie en quatre mots ?
Être ou ne pas.
Vos références en matière musicale ?
Eric Roberson, Trevor Dufoin, Emilie Autumn, The Survivor, Pierre Béchir, The Hollywood Hunters, sinon les CCR et aussi les Gories et Oblivians, comme d’habitude.
Pourquoi cette différence entre votre premier et votre deuxième album?
Parce qu’on est tous devenus gays…
La guitare ça vous inspire quoi ?
Que j’ai oublié de passer l’inspirateur !
Le label Voodoo Rhythm, tremplin pour signer sur une Major, ou véritable profession de foi(E) ?
Certes nous buvons beaucoup, mais nous sommes encore loin d’être des professionnels…
Pourquoi aimer les Come n’go ?
Parce qu’on est des jeunes cadres dynamiques, entreprenants, remplis de bon sens et pour la paix dans le monde.
Passons aux vraies questions, comment avez-vous choisi vos instruments ?
Tombola, jeu de la bouteille, action-vérité, ni oui ni non, Jacques a dit.
Qu’est-ce qui vous rend si sexy en fin de concert ?
La méthadone.
Lien vers la chronique de la compilation de Voodoo Rhythm