Le moins que l’on puisse dire, c’est que Carl Barat a eu de la peine à se remettre du split – définitif ? – des Libertines. S’il refuse fréquemment de rejouer avec Pete Doherty, c’est aussi pour une histoire d’ondes négatives, preuve de l’importance du malaise chez le génial guitariste. Cela dit, comme pour s’occuper d’un été bien trop calme, la presse anglaise a recommencé à délirer sur une probable reformation des Libertines. La réponse de Barat ? Le coup de l’album solo! Il serait en effet sur le point de partir en studio, tout soulagé qu’il est de ne plus traîner le boulet Dirty Pretty Things, split oblige. On reste sur l’affaire, c’est promis. En attendant, une interview du Londonien pour Clash Magazine.
Rédacteur en chef, chroniqueur, tyran : Si Lords of Rock était un château, on pourrait dire qu’Anthony est un des artisans ayant posé les premières pierres. Si maintenant l’édifice est terminé, cela ne l’empêche pas de fignoler quelques détails et mettre deux ou trois guirlandes pour égayer. Désormais rédacteur en chef, il motive les troupes et donne des coups de bâton quand ça ne va pas (mais les rédacteurs adorent ça). Féru de grosses guitares mais aussi de grands classiques de la musique francophone comme Céline Dion et Bézu, Anthony possède une des plus belles discographies du canton de Vaud. Mais pour la voir il faut d’abord trouver sa grotte, perdue au beau milieu des montagnes Suisses. Oui, Anthony vit isolé du monde depuis la séparation des Forbans en 1995.