On a pu le constater une fois de plus, la salle des Docks a une programmation assez incroyable. Cette saison des noms comme The Hives, Moby, Nouvelle Vague, Renan Luce, Gabriela y Rodrigo, New Model Army ou encore Yodelice figurent sur le programme. Rien que ça. En dehors de ces jolies têtes d’affiche, d’autres noms un peu plus underground complètent cette belle programmation. C’était le cas de Firewater qui tourne encore et encore depuis l’excellent THE GOLDEN HOUR.

Firewater

Comme à son habitude, le groupe américain Firewater a délivré un concert remarquable. Le public présent aux Docks de Lausanne a dansé et bougé sur du world punk.

 

 

 

On a pu le constater une fois de plus, la salle des Docks a une programmation assez incroyable. Cette saison des noms comme The Hives, Moby, Nouvelle Vague, Renan Luce, Gabriela y Rodrigo, New Model Army ou encore Yodelice figurent sur le programme. Rien que ça. En dehors de ces jolies têtes d’affiche, d’autres noms un peu plus underground complètent cette belle programmation. C’était le cas de Firewater qui tourne encore et encore depuis l’excellent THE GOLDEN HOUR.

 

En première partie, les genevois de Mama Rosin que l’on a aussi souvent l’occasion de croiser dans les salles romandes et dans les festivals, ont délivré une agréable prestation. Le rock cajun genevois est en plein essor, puisque le trio s’apprête à faire une mini tournée en Argentine et au Brésil durant le mois de novembre. L’occasion de découvrir le nouveau batteur et d’apprécier le style si particulier que nous propose le groupe. En fin de concert, Mama Rosin accueille sur scène Firewater pour une petite jam session semi-improvisée. Très chouette.

 

Le line up de Firewater varie souvent. Certains musiciens viennent et repartent en fonction de leurs projets respectifs. C’est pourquoi nous sommes très contents de revoir la gracieuse tromboniste Reut Regev qui avait été absente cet été. Par contre, Mr Jazz n’est pas présent ce soir et on découvre un nouveau percussionniste. Les autres musiciens sont bien présents, Yaro Milko le guitariste helvétique, et naturellement Tod, leader et fondateur du groupe.

 

 

 

Une fois de plus, nous ne sommes pas déçus de la performance du groupe. Pourtant, en voyant Tod préparer ses instruments, on pouvait supposer que le chanteur était un peu malade. Grosse écharpe, petite mine. Une fois sur scène, Tod ne semble pas souffrant pour deux sous et délivre encore un concert remarquable. Comme toujours une grande partie des titres de THE GOLDEN HOUR sont présents. De plus vieux morceaux comme “Another Perfect Catastrophe”, “Get Out of My Head”, “Some Strange Reaction” et “Bourbon And Division” accompagnent donc les titres du dernier opus en date. Un nouveau morceau a même fait son apparition sur la playlist. C’est plutôt prometteur. Des bruits d’une longue pause circulent, Tod va-t-il repartir sur les routes du proche-orient et de l’Asie à la recherche de sonorités, d’aventures, de rencontres ? Notre ami vagabond va-t-il au contraire se poser un peu, enregistrer un nouveau disque ? L’avenir nous le dira, en tout cas ce soir là aux Docks le public a pu voyager en écoutant Firewater. Après deux rappels les musiciens ont terminé leur concert avec le tubesque “This Is My Life.” En espérant recroiser la route de Tod ici ou ailleurs, nous repartons dans la nuit, des chansons plein la tête.

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