Tag Archives: Robert Smith

Paléo – Mercredi 18 juillet

  17h45… La soirée débute sous les meilleurs auspices avec Warpaint. Malgré l’heure précoce, les Américaines sont pour nous l’un des événements de la soirée, et on ne sera pas …

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Paléo 2012

  Mardi Le Paléo Festival a dénudé le programme de sa 37e édition ce matin. Il commencera, mardi 17 et mercredi 18, avec deux bonnes journées que les lecteurs de …

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Indochine live au Zénith

    Pour tout comprendre, il faut se replacer dans le contexte. Tout commence il y a 30 ans. Trust et Téléphone sont les leaders du rock français et proposent des …

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Eurockéennes de Belfort

La bonne nouvelle de la semaine, c'est le premier groupe dévoilé par les organisateurs des Eurockéennes de Belfort : Robert Smith et ses acolytes de The Cure seront présents pour …

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Cold Cave – Cherish the light years

  Wesley Eisold a été visiblement inspiré par des déambulations dans New York et cette poésie est contrebalancée par la sonorité quasi métallique et cette nébulosité qui n’est pas sans …

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UNKLE

Cinquième album du projet UNKLE, né dans la tête des producteurs James Lavelle et Tim Goldswort. Where Did The Night Fall met à l'honneur, au niveau des têtes d'affiche, The Sleepy Sun, The Black Angels, Big In Japan ou encore Mark Lanegan. Loin d’un album à concept, les multiples collaborations de UNKLE auraient pu donner lieu à d’aussi multiples galettes. A peine s’habitue-t-on à une voix et à l’énergie dégagée qu’il est déjà temps de s’en séparer et de passer au suivant... Trop de featurings tueraient-ils le featuring ? Et bien non, au final, on reste dans cette ambiance un peu poussiéreuse et futuriste. Pour le meilleur… aussi déstabilisant soit-il. De l’électronique tranquile à écouter chez soi, au lit ou bien installé dans son canapé. Pour voyager, dans le train aussi, un son tout en beauté. Pas de Thom Yorke ni de Ian Brown cette fois, UNKLE semble s’être reposé sur l’instinct quant aux guests invités. Par choix ou par dépit, peu importe, ça colle. On peut néanmoins détacher deux courants : les voix féminines et celles masculines, apportant des couleurs totalement différentes. On ouvre - faisons abstraction de l’intro - avec "Follow Me Down", avec les Sleepy Sun. A en faire pâlir Björk de jalousie. Ajoutons à cela des sonorités indiennes pour plus d’exotisme et on obtient un assemblage superbe. Autre titre, autre univers avec "Joy Factory" feat. Autolux. Plus aérien, à la Massive Attack -qui surfent d’ailleurs sur la même vague mais se sont violemment ramassés il n’y a pas si longtemps avec leur dernier album. Passons…

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The Twilight Sad

1981. The Twilight Sad sort FORGET THE NIGHT AHEAD, cet album tant attendu. Les disquaires ne savent plus où donner de la tête, Fat Cat Records explose les ventes, entre en bourse et devient une major quasi du jour au lendemain. Au même moment, à Londres, un certain Robert Smith et ses sbires pleurent à chaudes larmes en foutant loin toutes les bandes de PORNOGRAPHY, album qui était prévu l’année suivante et qui aurait été encore plus loin que FAITH. The Cure aux oubliettes ! Exit les gosses maquillés ! Fini ! On ferme boutique ! Le monde les aura oubliés en 2 ou 3 ans.

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The Cure

Robert Smith, l’éternel mélancolique de Crawley est de retour. Voilà 4 ans déjà que le dernier album de The Cure sortait et nous laissait un goût mitigé dans les oreilles, effectivement c’était un album inconsistant.

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