Tag Archives: Jim Jones

The Jim Jones Revue

Dès que l'on fait tourner la galette, on retrouve le groupe là où on l'avait laissé. Grande et unique différence : le son. Et oui contrairement aux derniers albums au bord du larsen celui là est bien mieux mixé. Est-ce qu'ils s'éloignent de leur racine garage pour autant ? Je ne crois pas. Les morceaux avoisinent toujours les trois minutes (au maximum!) et Jim est toujours autant criard. Le grand problème c'est que ce genre de musique peut vite lasser. On a quand même souvent l'impression d'entendre les mêmes chansons. On était surpris à l'époque des premiers albums car on avait l'impression que depuis Bunker Hill personne n'avait osé envoyer autant de décibels et de cris dans un micro en un aussi petit lapse de temps. Mais est-ce que la recette peut continuer pendant des années ? C'est encore à prouver. En live bien sûr, le groupe offre tout ce qu'on peut imaginer, mais en studio, le groupe se retrouve vite à se répéter

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Jim Jones Revue

Après des mastodontes comme les Vieilles Charrues et la Garden Nef Party en 2009, les Londoniens foulaient la scène du petit festival Rockailles, qui ne manquait pas d'arguments avec

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The Jim Jones Revue

Il y a presque un an, je suis tombé chez mon disquaire préféré sur un vinyle avec photo d'un vieux piano sur la couverture, en tournant le 33 tours, je découvrais une image d'un mec fringué comme dans les années 50 avec une Gibson vintage et l'air complètement possédé. Rapidement je me suis dis "ça me semble sympa tout ça". En faisant tourner la galette, je comprenais que je ne m'étais pas trompé. La musique qui sortait de cet album (intitulé simplement : THE JIM JONES REVUE) était si puissante et si distordue que je ne pouvais pas m'arrêtais de bouger ma tête et même mes pieds. Du rock'n'roll à la sauce vintage complètement surboosté par une patate et une violence des plus punk. Les morceaux semblaient être du Jerry Lee Lewis à 24 ans ayant écouté pendant des heures le MC5 et n'ayant pas oublié de se shooter au speed. Pour résumer tout ça, on pouvait dire : The Jim Jones Revue m'ont vraiment claqué la gueule dans le jukebox.

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