Tag Archives: Interpol

My Were They

Notre rencontre avec le groupe My Where They tient du hasard, ou plus simplement grâce à ce nouvel outil appelé Internet 2.0. Un simple message reçu un jour du genre: "bonjour, n'hésitez pas à écrire quelque chose sur notre musique" et une écoute attentive dudit groupe originaire de Chicago et le tour est joué. Lords of Rock a le plaisir de vous présenter un groupe à l'avenir prometteur.

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Wild Beasts

Il y a d’abord ce titre affolant, "We Still Got The Taste Dancing On Our Tongues" où les falsettos de Hayden Thorpe opèrent en réminiscences d’Antony Heagerty. On n’avait pas entendu pareille beauté depuis les derniers faits d’armes des sous-estimés Islands. Comme chez les XX, on ne s’embarrasse pas de milles

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The XX

C’est toujours la même histoire : comment certains disques voient-ils la lumière du grand jour ? L’album des XX est une énigme. « The XX déclare la seconde guerre froide au rock » déclare-t-on dans Voxpop. Cet album serait le manifeste des gens abattus, un vrai disque de new-wave, à des années lumières des exercices de reproduction d’Interpol et compagnie. Soit, ce

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Julian Plenti

(Il s’agit en fait de Paul Banks, le chanteur d’Interpol). Voilà c’est dit. Eh oui, la nouvelle est tombée alors qu’Interpol s’apprête justement à entrer en studio pour enregistrer son quatrième album. Il y a ici lieu de se remémorer que si l’homme a décidé de faire quelque chose en solo, c’est JUSTEMENT pour ne pas sonner comme son groupe habituel. Plus calmes, les titres ne se laissent pas adopter facilement (« All The Fun That We Have » somme toute très simple dans sa conception, commence doucement, même avec ses guitares saturées, pour finir sur des sonorités rythmées et appuyées, mais à aucun moment une mélodie à chanter sous la douche ou quoi que ce soit). « Games For Days » est lui aussi saccadé, avec une voix douce au timbre moins grave qu’à son habitude. Déroutés dites-vous ? Julian Plenti est en fait le nom de jeunesse avec lequel Paul Banks a débuté, il y a de cela maintenant quelques années. Incapable de vous dire si oui ou non cet album reflète le genre que pratiquait l’homme en son temps, voire même s’il s’agit-là de compositions ressorties du fond de son armoire, nous sommes ici en mesure d’affirmer qu’il y a un côté lo-fi manifeste, genre bricolage musical californien (« Madrid Song »). « Unwind » quant à lui est sûrement le morceau qui ressort le plus de l’album, de par son relief musical – au début en tout cas, car il s’écrase après 1’30’’ pour reprendre vers 2’45’’… longue dérive qui ne mène pas très loin, il faut bien le dire. Rien ici n’a grand-chose à voir avec ce qu’on connaît du blondinet. Même s’il y a de bons moments et de bonnes idées, que l’album est bien ficelé et ne part pas dans tous les sens, il est difficile de se sortir de la tête qu’il s’agit ici d’un concept-album, voire d’un album solo libérateur mais pas forcément destiné à se vendre à la pelle. « Mmmoui… Intéressant… Continuez… Parlez-moi de votre mère… » pourraient être les mots de l’auditeur.

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Ebony Bones!

Nom de Dieu que ça fait du bien un album pareil. Un album dans lequel on ne sent aucun calcul, aucune envie d’appartenir à quelque mode ou courant musical que ce soit. Un album dans lequel on sent une sincérité, une patte, une personnalité. Un album où rien n’est formaté, rien n’est lisse, rien n’est prévisible. Un album qui n’est qu’un joyeux bordel, fun, dansant et enthousiaste. Ebony Bones! est donc présentée comme la nouvelle diva trash à la Amy Winehouse. J’ai même entendu parler de « Beyonce punk » à son propos. Ces qualificatifs sont naturellement faux. Même si son premier album, BONE OF MY BONES, est un gigantesque carambolage de styles (soul, funk, electro, rap, rock, punk, musique africaine, trip hop, glam) et d’influences (Tricky, Funkadelic, Queen Latifah, Beastie Boys ou, mais oui, T-Rex -les claquements de main servant de rythmique sur "W.A.R.R.I.O.R." ne viennent pas de nulle part !-) Ebony Bones! n’est qu’elle-même, rien d’autre qu’elle-même.

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Private Garden

Interview de Private Garden avec Mathieu, le batteur, et Steve, le guitariste, au Café des Philosophes à Lausanne. Ce groupe de la Côte, aux fortes influences New Wave, devrait faire parler de lui en 2009...

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Montreux Jazz Festival 2008

«Hercules & Love Affair et Neon Neon remplacent Fisherspooner le 4 juillet au Miles Davis Hall»: c’est par ce court communiqué que le staff du Montreux Jazz évoque le désistement des excellents et trop rares Fisherspoonner. Le ton est donné : finie l’époque où le festival semblait intouchable et hors du marché des gros mastodontes européens suiveurs de modes.

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Montreux Jazz Festival 2008!!

Le programme du Montreux Jazz Festival a été dévoilé ce matin. On retrouvera cet été en vrac CSS, Babyshambles, Interpol, The Gossip ou encore Leonard Cohen. Plus d’infos sur www.montreuxjazz.com

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Editors

Confirmant le retour en force de la musique new-wave initié par des groupes comme Interpol, Editors mène désormais la danse dans le bal des fantômes qui fut ouvert à la fin des années 70 par des groupes comme Joy Division, Echo and the Bunnymen ou Chrome.

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Interpol sur la TSR !

Pour passer un Nouvel-An new-wave, le concert d’Interpol à L’Astoria de Londres (enregistré au printemps 2007) sera diffusé en (presqu’) intégralité sur TSR 2 le 29 décembre vers 23 heures …

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