Tag Archives: Ian Brown

The Stone Roses

Branle-bas de combat à Manchester, Ian Brown, John Squire, Gary ‘Mani’ Mounfield, et Alan ‘Reni’ Wren renouent. Après plusieurs jours faits de rumeurs persistantes, The Stone Roses ont confirmé leur …

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UNKLE

Cinquième album du projet UNKLE, né dans la tête des producteurs James Lavelle et Tim Goldswort. Where Did The Night Fall met à l'honneur, au niveau des têtes d'affiche, The Sleepy Sun, The Black Angels, Big In Japan ou encore Mark Lanegan. Loin d’un album à concept, les multiples collaborations de UNKLE auraient pu donner lieu à d’aussi multiples galettes. A peine s’habitue-t-on à une voix et à l’énergie dégagée qu’il est déjà temps de s’en séparer et de passer au suivant... Trop de featurings tueraient-ils le featuring ? Et bien non, au final, on reste dans cette ambiance un peu poussiéreuse et futuriste. Pour le meilleur… aussi déstabilisant soit-il. De l’électronique tranquile à écouter chez soi, au lit ou bien installé dans son canapé. Pour voyager, dans le train aussi, un son tout en beauté. Pas de Thom Yorke ni de Ian Brown cette fois, UNKLE semble s’être reposé sur l’instinct quant aux guests invités. Par choix ou par dépit, peu importe, ça colle. On peut néanmoins détacher deux courants : les voix féminines et celles masculines, apportant des couleurs totalement différentes. On ouvre - faisons abstraction de l’intro - avec "Follow Me Down", avec les Sleepy Sun. A en faire pâlir Björk de jalousie. Ajoutons à cela des sonorités indiennes pour plus d’exotisme et on obtient un assemblage superbe. Autre titre, autre univers avec "Joy Factory" feat. Autolux. Plus aérien, à la Massive Attack -qui surfent d’ailleurs sur la même vague mais se sont violemment ramassés il n’y a pas si longtemps avec leur dernier album. Passons…

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Ian Brown

Come on! Le splendide ex-leader des Stone Roses n'est toujours pas mort et compte bien le prouver avec son sixième album solo, sobrement intitulé My Way. On a toujours aimé chez le Ian cette simplcité... Au programme, des tubes, rien que ça. Evidemment, on aime Ian Brown ou non. On trouvera que le groove est à chaque fois inchangé sur chacun de ses albums ou alors on s’extasiera devant l’incroyable fait que l’homme-singe ne perd rien de sa fougue. Certains penseront que la reprise d’ "in The Year 2525" est un copier/coller de l’originale, tandis que tout fan du son Manchester tombera sous le charme de ce je-ne-sais-quoi. Tout comme ce « Stellify » qui paraît anodin au premier abord mais qui se révèle tout à fait addictif après 2 ou 3 écoutes à volume poussé. Ce titre rappelle le 2ème album du Mancunien, Golden Greats, avec ce roll attrapé au vol, le it comme l’appellent les jazzmen. Il est facile de lire sur le visage de Brown que ce mec, s’il n’avait pas fait de musique, traînerait dans un bar miteux de Madchester, à tirer des pintes et griller des clopes sur des terrasses froides à l’abri de la pluie. Probablement autiste sur les bords, Ian Brown a pu trouver sa voie et libérer sa verve créatrice. Et ce sur CHAQUE album. Sur le précédent, The World Is Yours, la musique classique était l’invitée d’honneur, il y a eu auparavant les sons électroniques (Musique Of The Spheres) et j’en passe. Tous furent réussis. Ici, même sur des titres à priori un peu limites (« For The Glory ») le résultat est plaisant ! A écouter de toute urgence.

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The Stone Roses

Le 20ème anniversaire de la sortie de The Stone Roses, premier album du groupe de Ian Brown, a suscité de belles envolées lyriques de la presse spécialisée. Et si on remettait tout à plat, avec une chronique partisane du rédacteur en chef Julien Gremaud et une critique aiguisée de notre érudit Crocodile Duffy ? Action.

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Sur les dance-floors avec Kasabian

Annoncé depuis plus d’un an, le troisième album des Anglais de Kasabian a enfin un titre (on s’accroche aux branches, rien moins que WEST RYDER PAUPER LUNATIC ASYLUM), et une …

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Oasis

Après plus de douze ans de carrière, voilà l’heure du best of, ou plutôt d’une sélection idéale. Car Noel Gallagher a déclaré ne vouloir sortir de best of seulement lorsque le groupe se sera définitivement séparé. Ce recueil se rapproche donc des compilations rouge et bleue des Beatles. Il permet de découvrir Oasis.

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