Deuxième interview de la journée du mardi au Paléo Festival, avec le trio anglais White Lies. Parfaits représentants d'un rock puisant son énergie dans les réminiscences 80's, les trois membres sont-ils aussi sombres que leur musique? Réponse avec Harry McVeigh, meneur du groupe, au micro de Sophie Heurtault.
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Première soirée sur les chapeaux de roues du côté du Paléo Festival avec, en première moitié l'honneur aux dames, puis, dans un second temps, quelques grands flibustiers du rock pour nous convaincre que ce mardi 22 juillet était le bon plan de cette 34ème édition...
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Le Gurten Festival commence cette année sous un soleil de plomb. Le thermomètre enregistre 31 degrés et c'est à une foule de festivalier transpirants et dénudés auxquels nous avons affaire. Le soleil et la bière effacent av
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Dès la sortie de leur album TO LOSE MY LIFE…, White Lies est entré dans les premières places des ventes d'albums au Royaume-Uni. Rien d'étonnant à cela, la formation amène un vent d'air frais et de renouveau à la scène rock des années 00. L'album est volontairement sombre, des arrangements musicaux aux paroles en passant par le timbre de Harry McVeigh. Le premier morceau, "Death", annonce la couleur. Influencés par des formations telles que Joy Division ou Depeche Mode pour ne citer que les plus connues, White Lies y ajoute une production technique irréprochable et un côté progressif qui ne déplaît pas. Quelques touches britpop du XXIe siècle viennent relever le tout et conférer un aspect très sautillant à des morceaux exagérément lugubres, à l'image du titre éponyme, paradoxalement digne du meilleur Kaiser Chiefs. Les claviers conviennent parfaitement et donnent une assise et une ampleur qui rappellent le premier album des Killers (n'allez toutefois pas chercher trop de similitudes entre les deux groupes") à des titres comme "A Place To Hide".
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