Tag Archives: Damon Albarn

Another Honest Jon’s Chop Up

Il faut reconnaître que l’avantage d’un front row (même quand on n’a plus l’âge !) c’est la  vision assez directe et très rapprochée (moins d’un mètre) sur la scène et sur …

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Balthazar

Formé depuis 2004, Balthazar ne dévoile son premier opus qu’en 2010. C’est que le groupe a sa réputation scénique à tenir et forge toute sa notoriété sur des live annoncés …

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Arctic Monkeys

Confier cette chronique à quelqu’un qui, depuis 2005, clame haut et fort qu’Alex Turner est un petit génie et qu’il est probablement le meilleur de sa génération (et de quelques …

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Erland And The Carnival

Voila un disque que l’on n’attendait pas forcément et qui se révèle être une bonne découverte. On retrouve le multi-instrumentiste anglais Simon Tong derrière ce projet plus qu’étonnant.

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Gorillaz

Le groupe virtuel Gorillaz se prépare à lancer son prochain album “Plastic Beach” en mars prochain, selon les informations obtenues par le site NME.com.Cette fois les créateurs de Gorillaz, respectivement …

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Brett Anderson

Dieu qu’elles semblent loin les années fastes de Suede pour Brett Anderson. Alors que son ex-guitariste Bernard Butler est au sommet de la vague (il est aujourd’hui devenu l’un des producteurs les plus demandés en Angleterre), Brett, lui, erre de minuscule maison de disques en minuscule maison de disques pour pouvoir sortir ses albums solo. Lesquels sont pourtant absolument remarquables. Ce SLOW ATTACK, qui vient tout juste de sortir, ne fait pas exception à la règle. On avait quitté Brett l’an dernier avec un disque sublime, ultra-mélancolique et minimal (les seuls instruments joués, en plus de sa voix, étaient une guitare acoustique, un piano et un violoncelle, point final), WILDERNESS. Il nous revient ce coup-ci avec un disque sublime, ultra-mélancolique et riche. Brett, cette fois, est allé rechercher (du moins pour certains morceaux) un batteur et un bassiste. Il a également engagé tout un tas d’autres musiciens (violoniste, clarinettiste, etc) qui viennent embellir à leur manière les chansons. Lesquelles chansons sont, pour beaucoup d’entre elles, à tomber à la renverse de beauté. Il est marrant aujourd’hui, pour les vieux briscards comme moi, de se rappeler à quel point, dans les premières années de Suede, Brett Anderson avait déjà des idées de composition excellentes, mais que sans Bernard Butler ou Richard Oakes pour l’aider à les charpenter, il ne semblait pas capable de sortir seul une chanson vraiment mémorable. Ce temps est donc aujourd’hui totalement révolu. Brett Anderson est désormais l’un des plus grands compositeurs de la planète. Dans sa catégorie, en dehors de Paul McCartney (quand il décide de s’y mettre), David Bowie, Damon Albarn, Morrissey ou Jarvis Cocker (quand il n’a pas l’idée incongrue de faire du hard rock), il n’y a vraiment pas grand monde.

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Ebony Bones! en interview

Ne vous fiez surtout pas à toutes ces couleurs. Elles ne sont pas que d'apparats. Rencontre avec la jeune londonienne, petite reine de la fusion pop 2009.

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Tinariwen

On ne parle ici que trop rarement de musique africaine. Alors que, pendant ce temps là, certains missionnaires occidentaux, à l’instar de Damon Albarn, contribuent à démocratiser l’écoute d’un genre trop souvent étiqueté World Music –par comodité- mais vidé de ses capacités d’influences. A propos d’influence justement, comment ne pas aborder cette mini polémique qui s’est formée en 2008 autour des groupes indés citant à tort et à travers des artistes tels que Fela Kuti, Ousmane Kouyaté, Issaa Bagayoo ou même Amadou et Mariam, entre kwassa kwassa, afrobeat et zouk ? Vu par un petit blanc bec, cette vague africaine dans le rock occidental surprend puis ne peut que passionner. Au point de se demander comment on avait fait sans jusqu’alors ? Certains ne s’en s’ont pas trop préoccupés et ont continué leur long chemin musical, à l’instar de Tinariwen. Honnêtement, les emprunts successifs de Vampire Weekend, Foals, Yeasayer, Dirty Projectors et j’en passe sont à des années lumières du blues proposé par ces touaregs du Mali.

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Graham Coxon

Ah Graham Coxon. Que voilà un grand homme. Humble, modeste, excellent musicien (guitariste mais pas seulement), très créatif, il aura été celui qui pendant dix ans au sein de Blur aura le mieux aidé ce génie absolu de Damon Albarn à mettre ses idées en musique, ce qui n’est vraiment pas rien. Tout ceci avant qu’au début des années 2000, ne se reconnaissant plus dans les délires africains de son acolyte et terriblement frustré que ses compositions ne soient quasiment jamais retenues au moment de l’enregistrement des albums (le syndrome George Harrison / Kim Deal / Dave Grohl), Graham ne quitte le groupe et n’entame une carrière solo artisanale et souvent brillante ponctuée jusqu’à aujourd’hui de six albums en solitaire. Sur ce septième essai intitulé SPINNING TOP, Graham abandonne en très grande partie la pop irrésistible qui avait le succès de ses précédents HAPPINESS IN MAGAZINES et LOVE TRAVELS AT ILLEGAL SPEEDS

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Blur à Hyde Park

Après sept ans d'attente, revoilà enfin Blur au grand complet. Lords of Rock était à Hyde Park où le groupe célébrait sa reformation en faisant le plus grand concert de leur carrière. Tout simplement.

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