Tag Archives: Berne

Private Garden

Private Garden, groupe nyonnais atypique, jouait sur la scène du Détour lors de l’édition du Paléo 2010. Le quintet possède toutes les qualités pour être reconnu dans nos contrées et ailleurs.

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Private Garden

Private Garden, groupe nyonnais atypique, jouait sur la scène du Détour lors de l’édition du Paléo 2010. Le quintet possède toutes les qualités pour etre reconnu dans nos contrées et ailleurs. Nous lançons le pari de voir cette heure arriver prochainement. Un premier album plein de maturité, « Tempest », et des concerts savamment étudiés : la dose de chance nécessaire pour percer saura faire le reste. Entretien dans les backstages quelques jours après ce passage réussi avec Jérome (bassiste), Nick (guitariste), Steve (guitariste) et Mathieu (batteur). Le chanteur Mathias manquait à l’appel pour cette fois.

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We Have Band

Encore un groupe de disco rock diront certains. Oui, mais tout en nuances. Aux influences prononcées. Citons, parmi d’autres, Joy Division, Talking Heads ou Hot Chip. Ils avaient déjà un groupe ; ils ont enfin un album. Enfin, car une longue attente à précédé la sortie de WHB, faute de label. Naïve a remédié à l’incongru. We hHve Band, c’est Thomas et Dede W-P (mari et femme) et Darren Bancroft. Ils avaient déjà créé un joli buzz en squattant les festivals en 2009. On se rappelle encore des titres "Oh" et "You Came Out" que certains bienheureux ont pu entendre au Montreux Jazz (première partie de Bloc Party) ou avant Peaches à Genève. Titres très dansants. C’est peu dire. Le groupe s’est forgé une jolie expérience scénique (plus de 100 concerts l’an dernier!) avant de se lancer dans l’enregistrement. Et c’est peut-être grâce à l’expérience que cet album lorgne également vers d’autres horizons, plus sombres par moments. Peut-être aussi grâce au producteur Garreth Jones (Grizzly Bear, Interpol). En tous les cas, les deux genres se complètent tout en cohérence. Quant aux voix, les membres se les partagent, en alternance, chacune d’elles rendant un effet spécifique et contribuant à la diversité. Emotions multiples en perspective.

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The Dodos

Pourquoi ne pas suivre le conseil des Dodos, « il est l’heure de mourir »… Oui, mais alors entouré de confettis, empreintes multicolores d’une marche funèbre qui a tourné au grandiose. Pour mieux se faire une idée de l’ambiance sonore, le titre d’ouverture du – déjà- 4ème album des californiens, Small Death : a priori sans véritable fond, simple ballade typiquement west coast pour mieux introduire une cavalcade mélancolique parcourant de multiples chemins, où immédiatement Logan Kreober – batteur – et surtout le chanteur Meric Long se distinguent. Le décor est planté et accroche insidieusement au fil des répétitions de la scène. Longform reprend le même procédé en créant toujours cette même confusion : grand œuvre ou redite informelle ? En prenant du recul sur l’objet en question, ce TIME TO DIE, pour ne pas le nommer, on apprend que les Dodos tenterait de refaire le coup du New Weird America, mouvement folk psychédélique des années 60-70, avec une invitation à la transe. Aux Etats-Unis, cela semble bien marcher, tout comme en France d’ailleurs. The Dodos sont hype, très hype. Et pourtant, comme dit précédemment, leur musique n’invite pas à la danse imminente. A ce propos, Fables, trop long étendu, est même carrément passable.

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Coldplay

40'000 personnes au Stade de Suisse à Berne pour assister au concert de Coldplay, les champions du stadium rock du moment. Où quand l'orage redonne de l'élan à une prestation en demi-teinte...

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Gurten Festival

Les festivals se marchent l'un sur l'autre et Lords of Rock n'en manque pas une miette. Dès demain, place au Gurten! Avec Oasis, Razorlight, Glasvegas, Kings of Leon, White Lies, le festival sur la colline est un monstre

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Changements au Paléo

Personne n’est à l’abris d’une annulation. Pour le coup, c’est le Paléo Festival qui a le regret d’annoncer le forfait de Snow Partrol du programme du jeudi soir. Les amateurs …

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Arctic Monkeys

Voici la réponse sans rémission au dernier live des Rolling Stones filmé par Scorsese (Shine A Light) Au clinquant, au pathétiquement mou, à l'auto-congratulation, voici un objet où le mot "indé" prend tout son sens: Live at The Appolo: Arctic Monkeys. Une mise en "scène" clin d'oeil aux films d'espionnage, avec quatre protagonistes pour autant de plans fixes. Une musique d'entrée ("Servizio Fotografico" par Bruno Nicolai) qui indique que chez la bande à Turner, on cultive élégamment le goût de la mise en scène sobre et élégante. Visible sur internet, la bande annonce donne le ton: "Still Take You Home" (pièce maîtresse du concert) joué plein pot, de face, sans scrupule ni clin d'oeil. Entre les roadies, les sécus et les ingés sons, on

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Midnight Juggernauts

Avec leur van improbable, les Midnight Juggernauts détonnent dans l’enceinte du Montreux Jazz Festival...

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