Pour les amateurs du genre métal voire speed métal, Seven the Hardway est « le » truc. Au sein de Seven the Hardway on retrouve de vieux briscards à savoir le guitariste Tony McAlpine que les français ont découvert récemment lors de la tournée de Michel Polnareff donnant au passage un côté résolument heavy aux compos du Polna à la demande de ce dernier et Mark Boals, au micro qui nous ramène au temps jadis où Yngwie « J » ( pour les intimes ) Malmsteen régnait sur les contrées guitaristiques et changeait de chanteur comme de médiator ; Boals apparaissant notamment sur le troisième opus du suédois, TRILOGY ou encore INSPIRATION et plus récemment WAR TO END ALL WARS.

Seven The Hardway

METAL Premier album éponyme pour ce groupe américain composé de vieilles gloires du metal. Cependant, rien de neuf sous le soleil…

Pour les amateurs du genre métal
voire speed métal, Seven the Hardway est « le » truc. Au sein de
Seven the Hardway on retrouve de vieux briscards à savoir le guitariste Tony
McAlpine que les français ont découvert récemment lors de la tournée de Michel
Polnareff donnant au passage un côté résolument heavy aux compos du Polna à la
demande de ce dernier et Mark Boals, au micro qui nous ramène au temps jadis où
Yngwie « J » ( pour les intimes ) Malmsteen régnait sur les contrées
guitaristiques et changeait de chanteur comme de médiator ; Boals
apparaissant notamment sur le troisième opus du suédois, TRILOGY ou encore
INSPIRATION et plus récemment WAR TO END ALL WARS.

Un maelstrom sonore

Que dire de cet album sinon
qu’il n’y a rien de neuf sous ce soleil. Difficile de réinventer le genre même
si les codes sont là : “Liar” est du pur métal mélodique avec un refrain
imparable et Boals n’a rien perdu de sa puissance vocale ni de ses intonations
tout en décrochage. Je n’ai jamais aimé Tony McAlpine et son style de soli
kilométrique et là on retombe en plein dedans. Pas d’émotion ni de feeling au
contraire d’un Malmsteen justement qui, s’il distribue les mêmes plans depuis
RISING FORCE, arrive à faire passer certains sentiments. “Guilt” est une sorte de
RATM pénible que l’on zappera allègrement. Petite perle de douceur que ce “Where
I’m Going” comme savent les faire les métalleux histoire de nous rappeler que
leur cœur n’est pas seulement fait de budweiser et d’électricité. “All I Had”
plonge du côté des riffs lourds et noirs de Mr.Iommi et l’exercice est plutôt
réussi. “Blame” et “The Wall” sont littéralement sauvés par Boals dès le refrain
doublé ; McAlpine devenant plus que lourd à force de grand renfort de
progressions d’accords dissonants. On passera sur le reste de l’album qui tombe
dans un maelstrom sonore fait de breaks et d’interventions plus que
négligeables de McAlpine. A conseiller aux amateurs du genre uniquement…

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