Rinch

Ce premier album fait penser à du Placebo sous valium. Le sens critique et le fond des paroles de ce disque est tout-à-fait honorable, compte tenu des soupes qu’on nous assène du soir au matin. Au delà d’un rock efficace, on devine des textes subtils « La ciguë » souvent profondément déprimants.  Ça décolle difficilement, aucun exploit de mise en forme bien que l’effort porte sur la vibration et la transmission, la plus franche possible d’un ressenti.

Que dire de plus ? La trame de fond est assez contemplative, à voir comment l’auteur parviendra à restituer son univers sur scène. Personnellement, je trouve qu’il est difficile de ne pas voir dans ce disque une forme de maniérisme et de théâtralité qui, par moment, ruine la musique.

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