A la sortie de leur premier album TO LOOSE MY LIFE, White Lies a créé une « mini sensation » dans le monde si branché et intéressant de l’indie-rock anglais. Néanmoins, pas si facile de rester en haut de l’affiche. Pourtant, les comparaisons allaient bon train. De Joy Division à Editors, le style un peu « dark » et revival new-wave du groupe a de quoi plaire aux amateurs du genre. Leur deuxième album RITUAL sorti en début d’année confirme le talent du jeune groupe londonien et l’on se réjouit de voir toute cette énergie sur la scène des Docks mercredi prochain. Le rendez-vous est fixé. En première partie, un autre groupe anglais avec The Duke Spirit. London Calling !
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Rédacteur en chef, chroniqueur, tyran : Si Lords of Rock était un château, on pourrait dire qu’Anthony est un des artisans ayant posé les premières pierres. Si maintenant l’édifice est terminé, cela ne l’empêche pas de fignoler quelques détails et mettre deux ou trois guirlandes pour égayer. Désormais rédacteur en chef, il motive les troupes et donne des coups de bâton quand ça ne va pas (mais les rédacteurs adorent ça). Féru de grosses guitares mais aussi de grands classiques de la musique francophone comme Céline Dion et Bézu, Anthony possède une des plus belles discographies du canton de Vaud. Mais pour la voir il faut d’abord trouver sa grotte, perdue au beau milieu des montagnes Suisses. Oui, Anthony vit isolé du monde depuis la séparation des Forbans en 1995.