The Good The Bad & The Queen

Onze ans plus tard, The Good, The Bad & The Queen, qui met en vedette Damon Albarn de Blur (oui, Gorillaz aussi) aux côtés de Paul Simonon de The Clash, Simon Tong de The Verve et Tony Allen, batteur de Fela Kuti,  reviennent.

Damon Albarn a qualifié l'album tant attendu « d'ode au Nord de l'Angleterre », sur lequel il a travaillé avec Tony Visconti, le producteur de David Bowie.

MERRIE LAND le premier single est une complainte douce-amère de la conscience dans la lignée blurienne de  « This is a Low ».

Les paroles se lisent comme une lettre de rupture nationale pour l'ère Brexit : « Si tu pars, dis au moins au revoir. Et si tu pars, tu peux me laisser ma tasse en argent du Jubilé ? » … tout est dit, non ?

Le second single « Gun To The Head » suit le titre de l'album et est tout aussi alarmant sur l'état de l'après-Brexit britannique avec une ritournelle angoissante !

En résumé, MERRIE LAND a été écrit au cours de la période où le Royaume-Uni se prépare à quitter l'Union européenne, générant, ici, une lettre d'adieu circonspecte, une belle série d'observations et de réflexions sur la Grande-Bretagne en 2018.

C’est du Albarn pur jus avec l’apport clash et beat de ses acolytes (précurseur d’un nouveau Blur ?).

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