Tag Archives: New York

Heartland Festival: on vous raconte

Pour sa première édition, le festival veveysan s'est fait remarquer, et pas qu'une fois. Le culot des programmateurs, une communication finaude ainsi qu'un lieu de concert d'exception font que ce festival pourrait bien devenir rapidement un classique du genre. A suivre, en 2011, si tout va bien. En attendant, retour sur ces quatre jours exclusivement canadiens.

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Blonde Redhead, pour rien?

La fin d'un long silence radio pour le trio New-Yorkais, jadis merveille absolue de la Grande Pomme, dans la digne lignée de Sonic Youth. Mots d'humeur. Et on ne le dit pas de gaieté de coeur...

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Department of Eagles

Les trop méconnus Department of Eagles ont sorti cet été un album réunissant quelques vieilleries du groupe. Si tout n'est pas indispensable, l'ensemble démontre bien que ce groupe est d'une très haute valeur. D'acucuns se souviennent du petit miracle de pop IN EAR PARK, sorti en 2008 chez 4AD. "Phantom Other" était d'une intense classe, boulversant et parfaitement orchestré, le bien nommé "No One Does It Like You" invitait à la danse lumineuse, tout comme le morceau éponyme tressait ses sonorités avec grâce, à s'en relever la nuit. Pas étonnant d'apprendre par la suite que celui qui se cachait derrière ce projet né au début des années 2000 à New York n'était autre que Daniel Rossen, éternel insatisfait des non moins importants Grizzly Bear. Des liens entre ces deux groupes, mais deux identités bien distinctes. Parmi ceux-ci, un espace-temps somptueux, un quasi-ralenti aux grands airs et des ambiances imposantes, à ne pas pouvoir en décrocher.

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Fleet Foxes

Paru durant l’hiver 2008, le premier album des Fleet Foxes avait réchauffé plus d’un coeur. Mais, alléluia! Les vibrants américains ont annoncé, il y a près d’une semaine leur retour, …

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Earl Greyhound

A New-York pour être branché, il faut dorénavant écouter Earl Greyhound. Vous connaissez ? Non ? D’accord, ce n’est pas aussi en vogue que les Strokes et leur éventuel ou futur non retour, mais c’est un groupe qui commence à se faire un nom. Là-bas et aussi par chez nous. Ils sont d’ailleurs en Europe ces jours pour nous faire part de leur talent et de leur rock teinté de blues et de soul. Earl Greyhound c’est un trio assez étonnant. D’une part leur look bobo oldschool kitch un peu décalé ne laisse pas indifférent (les photos du disque en pleine verdure nous le prouve) et d’autre part la musique à de quoi nous laisser perplexe. Il n’y a pas de morceaux qui sortent du lot et qui sonnent comme des tubes en puissance. A la limite tant mieux, car c’est énervant d’avoir deux bons morceaux par disque et que du remplissage autour

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Arcade Fire

Quelques jours après leurs apparitions aux Madison Square Garden de New York et au festival de Lollapalooza à Chicago, les Canadiens d’Arcade Fire se lancent sur les routes du Vieux …

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Twin Sister

Mon histoire d’amour avec Twin Sister remonte l’été 2009. Ou pas loin. A l’époque, quelques morceaux de pop rêveuse et cajoleuse livrés sur leur site attirent mon oreille et finissent …

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The Drums

The Drums, quatuor de Brooklyn et buzz du moment, se sont produits au Montreux Jazz Café le lundi 5 juillet. L'énergie les caractérisant s'est déversée sur ce lieu et touché le public de plein fouet. Jeunes mais déterminés, The Drums savent sans problème assurer un concert de la première à la dernière minute. Toutefois, ne s'agit-il que d'un feu de paille? Nous le verrons très bientôt. En attendant, les sympathiques membres du groupe nous ont accordé un entretien.

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Vampire Week End et Julian Casablancas à Montreux

Une soirée typiquement new-yorkaise pour ce début de semaine à Montreux. Les illuminés de Vampire Week End et le beau Julian Casablancas, chanteur des Strokes venu présenter son premier album solo sorti en novembre dernier.

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Gogol Bordello

Le débat est magnifique : Vous prenez le groupe Gogol Bordello, bien connu pour son extravagance, ses concerts mythiques, son ambiance de folie, ses brassages ethniques, ses influences tsiganes et tout ce qui va avec. OK ? Et vous ajoutez à cela un contrat en bêton chez une major avec un monstre de renomée à la production. Etonnant non ? Et pourtant c’est bien ce qu’il s’est passé avec le groupe américano-russo-ukrénien. On entend déjà les vagues de contestations des premiers fans qui regrettent le label indépendant qui les à fait connaître et crie au scandale. Gogol Bordello aurait-il vendu son âme au diable ?

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