Pour fêter l’évènement, ce n’était pas au bar sans alcool du Mediacenter que nous trouverions de quoi faire. Alors direction les vrais bars de Montreux, ceux qui passent de …
lire...Parov Stelar
Parov Stelar… Parov Stelar… le mec qui fait de l’électro étrange ? De l'électro swing? Aller à son concert ? A 20 heures… mais pourquoi si tôt ? Bon …
lire...Hurts
Ca sent fort les 80’s chez Hurst. Mais le revival de ces années étant déjà bien passé, Happiness ne peux être qu’un album moyen et peu hip. Par contre, le groupe pourra se consoler en vendant tout plein de disques. Tout d’abord, il y a la pochette d’Happiness léchée à l’excès. Le booklet entier est en noir et blanc, avec des images retro. Le groupe pose énormément dans des tenues classes des 80’s qui rappellent parfaitement l’esthétique de groupes comme ABC, Heaven 17 et surtout Human League. Tout ça est très joli, peut-être trop et notre méfiance s’aiguise lorsque c’est Kylie Minogue qui apparaît pour un duo. On se sait plus trop à quoi s’attendre : un album esthète bien senti ou le reflux mainstream du trip 80’s. C’est donc dans un doute complet que l’on lance la première chanson, « Silver Lining ». Et là merveille, un rythme saturé et froid soudain transpercé par les cloches d’un synthé brillant. C’est beau, c’est tout qu’on aime dans la synth pop, ce mélange débridé de froid et de chaud, de sale et de propre. C’est beau mais ça n’aura duré que 25 secondes. Dès les premiers sons de voix du chanteur, le côté ultra pop et ultra lice refroidit notre ardeur. Mais on se dit que la qualité instrumentale nous ferait presque accepter ce parti pris. Mais voilà plus la chanson avance, plus le côté novateur musical baisse. Une guitare niaise apparaît et le rythme perd toute sa force. Pire les violons en fin de chanson viennent clore la descente de Hurts vers le convenu musical le plus extrême. En une chanson tout est déjà joué, les espoirs sont déjà trahis et Happiness fera se suivre chansons banales et titres mainstream sans aucune originalité.
lire...2009 dans le rétro
Lords of Rock se penche sur l'année écoulée et ressort ses chroniques des meilleurs albums, interviews et concerts.
lire...The Horrors
Sous les feux des projecteurs, les londoniens de The Horrors ont foulé les planches du génial club Le Romandie, à Lausanne. L'occasion pour Lords of Rock de rencontrer (enfin) les membres de ce quintette à la réputation dichotomique.Explications, et longue conversation s'ensuivent.
lire...Peter von Poehl
Malgré un contretemps pour cause d'interview pressante avec un de nos confrères, Lords of Rock a pu rencontrer Peter von Poehl. Mais, pour notre journaliste Sophie, ce charmant suédois a, comme vous le verrez, extrêmement bien développé ses réponses. Mais, dans l'empressement, certaines de ses explications ne peuvent éviter l'égarement... C'est que ça tourbillone dans le cerveau de Peter...
lire...Soap & Skin
Comme une marche funèbre. A 18 ans, Anja Plaschg a tout d’une grande écorchée. Compositrice dès son enfance dans son village natal de Gnas, en Autriche. Ses parents sont fermiers. Son village, situé en Styrie orientale, non loin de la Hongrie, ne comporte pas plus de 2'000 habitants. A 14 ans, le label berlinois Shitkatapult (T.Raumschmiere, Warren Suicide notamment) la prend sous son aile. A 16 ans elle abandonne l’école, à 18 zappe les Beaux-Arts de Vienne.
lire...Marathon pop…
La Suisse Romande vient de subir une déflagration pop d'une intensité rare. Revue, critique sur le fait et tour de Romandie des concerts d'Eskobar, Nada Surf et Bang Gang respectivement au Rocking Chair, aux Docks et au Fri Son.
lire...Redwood
Après avoir vu et revu la pub à la TV pour leur dernier album, nous étions intrigués de découvrir les personnalités de nos artistes helvètes. Une heure après le concert d’ouverture du Club Tent, les zurichois de Redwood nous ont accordé quelques instants dans leur loge. Entretien avec Mark Lim et la charmante chanteuse Lesley Meguid.
lire...Stereophonics
A moins d'une heure de rentrer sur la scène du Caribana, les Stereophonics nous laisse partager avec eux l'ambiance du festival et de leur tournée de Pull The Pin, leur dernier album. Javier Weyler, batteur, nous confie ses impressions sur le groupe et la tournée. Par la suite, le groupe se livrera à un show incroyable au volume sonore maximal.
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