Les cinq de Birmingham reviennent à leurs premiers amours (enfin ?) ! Après un début tonitruant laissant à penser qu’ils allaient être dominant sur la scène anglaise, ils sont passés du rock alternatif au rock-électro avec IN THIS LIGHT AND ON THIS EVENING.
Après la brouille avec le guitariste Chris Urbanowicz en 2012, Tom Smith a vraisemblablement enclenché un travail salvateur (et dirigiste ?) et sort, avec ses acolytes, un album plus brut, plus travaillé et largement magnifié par les violons et autres cordes ; Et sa voix est toujours là (The Weight).
"Formaldehyde" ou "A Ton Of Love" (aux sonorités très U2) sont à elles seules des potentiels titres pour vous faire aimer Editors. C’est un brin rutilant, aguicheur et entraînant. Mais deux titres, c’est peu. Hélas, on ressent vite les limites de la production et on se demande s’il existe l’étincelle ou si c’est juste un feu de paille. Personnellement, mis à part les titres cités, je n’ai pas remis le couvert après écoute.