Je vais être honnête. Je n’avais jamais posé une seule oreille sur un titre des Quireboys auparavant ou alors sans le savoir… Je m’en veux. Beaucoup. Ce live in London est tout simplement une tuerie, un coup de pied dans le service trois pièces, un direct suivi d’un uppercut bien sentis. Prenez un british pur jus, Jonathan « Spike » Gray au grain de voix semblable à celui de Rod Stewart avec des intonations à la Axl, associez-y des influences musicales telles que les Faces, Aero, Guns, Stones et Whitesnake première mouture le tout saupoudré par du bon Honky Tonk et vous y êtes. Du vrai rock de mecs qui en ont, sentant bon le tabac froid, les boutanches vides et la sueur. Ben oui c’est un peu ça quand même de temps en temps le wack’n’woll et il est bon de le rappeler

The Quireboys

GLAM ROCK Loin de la scène indie-pop-electro-rock et j’en passe, The Quireboys vient nous rappeler au bon souvenir de cette époque mythique où les leggins se portaient fièrement et où tout nous paraissait plus simple. Les Quireboys ne sont plus tout jeunes, mais l’énergie en live reste intacte.

Je vais être honnête. Je n’avais
jamais posé une seule oreille sur un titre des Quireboys auparavant ou alors
sans le savoir… Je m’en veux. Beaucoup. Ce live in London est tout simplement
une tuerie, un coup de pied dans le service trois pièces, un direct suivi d’un
uppercut bien sentis. Prenez un british pur jus, Jonathan «  Spike »
Gray au grain de voix semblable à celui de Rod Stewart avec des intonations à
la Axl, associez-y des influences musicales telles que les Faces, Aero, Guns,
Stones et Whitesnake première mouture le tout saupoudré par du bon Honky Tonk et
vous y êtes. Du vrai rock de mecs qui en ont, sentant bon le tabac froid, les
boutanches vides et la sueur. Ben oui c’est un peu ça quand même de temps en
temps le wack’n’woll et il est bon de le rappeler. Est-ce que ce disque risque
d’intéresser les fans de Muse, Radiohead ou Kings of Leon ? Je ne crois
pas et c’est tant mieux. On ne joue pas dans la même cour. Ici le Jack Daniels
remplace la frêle Heineken, le pack de six la Powerade.

La tête fracassée de bonheur

Dès l’intro de “C’mon” et
jusqu’à “Sex Party” ce n’est que riffs AeroStonien et rythmique de plomb grâce à
la présence aux fûts non négligeable de Jason Bonham, ce dernier se permettant
même un petit hommage au paternel avec le gimmick de “Rock’n’Roll” du Zep à la
fin de “This Is Rock’n’Roll” ! Hommage plus qu’appuyé aux années Faces avec
Misled et son piano bastringue. On ralentira quelque peu la cadence avec le splendide “Whippin’ Boy” et
l’incontournable ballade obligatoire “I Don’ t Love You Anymore” qui rendrait jaloux
le Mick … “Sex Party” clot le set tous chœurs dehors, nous renvoyant à nos
pénates, la tête fracassée de bonheur. Malgré un clavier et une basse peu
mixées en avant, c’est du pur plaisir pendant une heure, le pendant dvd
permettant de mettre des images sur ce joyeux bordel. We are The Quireboys and This Is
Rock’n’Roll !!!!

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