Tag Archives: Leon

For Noise

    Les + Wild Beasts et Twin Shadow Quelques jours après avoir fait parler d’eux en remixant le “Yoü and I” de la foldingue Lady Gaga, les Wild Beasts …

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Wild Beasts en interview

  Lords Of Rock: Pourquoi SMOTHER? Tom: C'est un mot à double sens. Nous voulions un album « consolateur » en quelque sorte. SMOTHER (ndlr. suffoquer), c'est être proche. Mais également intime, …

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Kings Of Leon

Cinquième album en famille pour les toujours aussi populaires Kings of Leon. Pour l'occasion, on a refilé le dossier à un expert du groupe. Critique légitime. Mon Dieu ! Quelle immense prise de risque que de proposer la chronique du dernier album des rockeurs les plus connus de Nashville Tennesse à un fan de la première heure de la Followill crew. Car il faut le savoir – mais quiconque connaît un peu la discographie du groupe le sait – qu’il existe deux catégories de fans derrière le quatuor ricain. Il y a d’un côté ceux qui ont découvert le groupe avec le tube On Call (Because Of The Times, 2006), qui a réussi à se faufiler dans les haut-parleurs des rayons sous-vêt du moindre H&M européen jusqu’aux derniers défilés haute couture Armani. Le tube qui lança la carrière U2èsque du groupe. Et puis, de l’autre côté, il y a les fans du début. En minorité bien sûr, ils sont lâches et crient « Juda » aux moindres apparitions du groupe sur scène ou à la télé, s’élevant contre ce Cerbère dirigé par cette force de la nature de chanteur, n’écoutant plus aucune production du groupe après Aha Shake Heartbreak (2004). Cette petite tribu d’irréductibles, conservateurs et austères (dont je fais partie) est sourde à toute nouveauté du groupe et a depuis longtemps déjà enterré le groupe, un groupe qui a connu un avant et un après, une mutation universelle pour stades, qui remplit les caisses et attire les foules grâce à des tubes carrés, puissants et labellisés. Kings Of Leon sortait en octobre passé leur troisième… euh, pardon, leur cinquième opus qui s’est dressé numéro 1 des charts dans plus de quatorze pays, dont l’Australie, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Suisse et (of course) les States. Les maîtres du monde viennent de Tennesse.

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I Heart Hiroshima

Derrière ce nom bizarre, se cachent deux garçons et une fille mais pas de basse. Les 3 jouent une pop indé reprenant les moindres caractéristiques du genre. Et comme dans toute musique pop, c’est l’émotion qui décide d’un groupe s’il ennuie par son côté déjà-vu ou si sa sincérité touche juste.

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Kings of Leon

Les Kings of Leon nous livrent un avant-goût de leur nouvel album, COME AROUND SUNDOWN, annoncé pour le 18 octobre. Ce quatrième album est précédé d’un clip, “Radioactive”, que le …

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Tom Jones

Tom Jones, en 2010, s’est décidé à enregistrer l’album que l’on attendait de lui depuis des lustres à savoir mettre son organe gallois au service du cru gospel et country US. Certes le sillon

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Fanfarlo

Fanfarlo ou le groupe qui condense les influences de Beirut, Arcade Fire ou Belle and Sebastian. Même s’ils n’apprécient que moyennement cette catégorisation, les faits sont là :

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My Heart Belongs to Cecilia Winter

My Heart Belongs to Cecilia Winter, un trio berno-zurichois promis à un très bel avenir. Comparé d’ores et déjà à Arcade Fire, Sigur Ros ou Death Cab for Cutie, leur pop-folk-rock aérienne enchante les oreilles de nos contrées et celles d’au-delà. Le premier album est là, joliment intitulé Our Love Will Cut Through Everything.Un nom poétique. Pas concis certes, mais poétique. Et leur premier opus l’est de même. Tout en romantisme. C’est ce que l’on en retient, malgré des riffs de guitare tranchants sur certains titres. Dream-pop par moments, très rock à d’autres, la musique de My Heart Belongs to Cecilia Winter est un bouillon d’influences cohérent. Et qu’est-ce que ça fait du bien à la scène suisse. Ils surfent très nettement sur ce qui marche actuellement, c'est-à-dire la pop-rock innocente. Sans prétentions et atteignant néanmoins des sommets. Ainsi qu’un buzz amplement mérité.

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Strange Boys

4 EP et un album sorti en 2009 plus tard, The Strange Boys semblent seulement maintenant se voir reconnaître leur énorme talent. Ces proches des Black Lips, King Khan ou du regretté Jay Reatard tourneront ce printemps avec les indispensables Spoon et Deerhunter. Enfin une occasion de voir ces hommes étranges venir visiter nos contrées ?

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The Black Box Revelation

La petite salle du Bleu Lézard était pleine à craquer jeudi dernier pour accueillir le duo belge du moment, The Black Box Generation. Une première partie agréable et prometteuse a permis aux jeunes Irlandais de General Fiasco (du rock anglais dans la pure tradition britannique) de se faire connaître.

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