Tag Archives: Joy Division

Editors

A toute vitesse, Editors sort son troisième album mais ne refourgue pas impétueusement ses bonnes vieilles recettes. Intéressant, et presque inespéré. Revue en détail de ce IN THIS LIGHT AND ON THIS EVENING.

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My Were They

Notre rencontre avec le groupe My Where They tient du hasard, ou plus simplement grâce à ce nouvel outil appelé Internet 2.0. Un simple message reçu un jour du genre: "bonjour, n'hésitez pas à écrire quelque chose sur notre musique" et une écoute attentive dudit groupe originaire de Chicago et le tour est joué. Lords of Rock a le plaisir de vous présenter un groupe à l'avenir prometteur.

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The Stone Roses

Le 20ème anniversaire de la sortie de The Stone Roses, premier album du groupe de Ian Brown, a suscité de belles envolées lyriques de la presse spécialisée. Et si on remettait tout à plat, avec une chronique partisane du rédacteur en chef Julien Gremaud et une critique aiguisée de notre érudit Crocodile Duffy ? Action.

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Paléo Festival

Première soirée sur les chapeaux de roues du côté du Paléo Festival avec, en première moitié l'honneur aux dames, puis, dans un second temps, quelques grands flibustiers du rock pour nous convaincre que ce mardi 22 juillet était le bon plan de cette 34ème édition...

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The Rakes en interview

The Rakes ont joué dimanche passé un ton au-dessous ce leurs traditionnelles prestations: soit, ruer dans les brancards, chancelant, la tête dans le guidon, les genoux éraflés. Leur meneur Alan Donohe s'évertue bien à chanter “1989“ avec son refrain chanté la tête à l’envers, un doigt dans l’œil, rien ne ressemble aux concerts entrevus entre Bristol et Berlin cette année. Exilés dans la capitale allemande cet hiver pour y enregistrer KLANG - leur troisième album - The Rakes ont semble-t-il heureusement tiré un trait sur des préten

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Caribana Festival

Dès l’entrée dans l’arène, on reconnaît inévitablement cette voix… celle de Tom Smith, qui chante l’un de ses derniers titres, "Bricks and Mortar" ! Nous aurons droit en tout à quatre nouveaux titres. Mais que s’est-il passé dans leur musique ? Elle est noir, froide… Eh oui, cette fois, on dirait bien du Joy Division ! Eux avaient une production qui givrait le son, Editors ont la technique actuelle pour retrouver ce

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White Lies

Dès la sortie de leur album TO LOSE MY LIFE…, White Lies est entré dans les premières places des ventes d'albums au Royaume-Uni. Rien d'étonnant à cela, la formation amène un vent d'air frais et de renouveau à la scène rock des années 00. L'album est volontairement sombre, des arrangements musicaux aux paroles en passant par le timbre de Harry McVeigh. Le premier morceau, "Death", annonce la couleur. Influencés par des formations telles que Joy Division ou Depeche Mode pour ne citer que les plus connues, White Lies y ajoute une production technique irréprochable et un côté progressif qui ne déplaît pas. Quelques touches britpop du XXIe siècle viennent relever le tout et conférer un aspect très sautillant à des morceaux exagérément lugubres, à l'image du titre éponyme, paradoxalement digne du meilleur Kaiser Chiefs. Les claviers conviennent parfaitement et donnent une assise et une ampleur qui rappellent le premier album des Killers (n'allez toutefois pas chercher trop de similitudes entre les deux groupes") à des titres comme "A Place To Hide".

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Green Day

Il y a toujours eu un énorme malentendu entre Green Day et la critique rock. L’histoire remonte à l’explosion du groupe en 1994. Très vite, les trois Green Day ont été qualifiés de clowns, de « punks MTV »,

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The Horrors

Evoquer le spectre et écueil de la new-wave est barbant, ne pas le faire relève d’un manque de perspective ou de la paresse. Dans cette optique, s’exprimer sur le second album des Horrors est à double tranchant. PRIMARY COLOURS : le plus bel hommage qu’on puisse faire tant à Joy Division qu’Echo and The Bunnymen, ou simple pitrerie sans cœur ni âme d’un groupe de notre décennie escargot ?

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The Rifles

Il va falloir dorénavant compter avec les Rifles dans la nouvelle scène rock indie londonienne. Ils ne nous ont certes pas attendus pour confirmer leur talent, puisque leur premier album sorti en 2006 NO LOVE LOST bien que peu médiatisé avait été remarqué et apprécié par quelques oreilles attentives. Les britanniques sont de retour et confirment avec GREAT ESCAPE, titre qui rappellera sans doute un célèbre plongeon aux amateurs de rock anglais. Tout n’est pas incroyable sur cet album, mais l’entrée en matière est remarquable, puissante et fait clairement comprendre aux auditeurs que les Rifles font du rock et pas de la pop. L’album démarre en trombe avec "Science In Violence". Un rythme rapide, une basse monstrueuse et la voix agréable de Joel Soker font de se morceau, une entame parfaite. Le titre "The Great Escape" n’est pas en reste non plus, mais le ton est déjà plus rock anglais, plus classique dans ce

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