Tag Archives: Die

Mogwai – Interview @ MJF

  Lords of Rock : Vous allez jouer devant le public du Montreux Jazz encore une fois. Comment te sens-tu? Dominic Aitchison : Très excité ! C’est la troisième fois que l’on va …

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The Dodos

Après s’être bouffé la tronche lors de la sortie de TIME TO DIE. Le trio folk The Dodos revient là où on ne l’attendait pas. Et avec un cinquième disque …

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Sham 69

La petite cave du Bleu Lézard a carrément été prise d’assaut jeudi dernier par toute une bande de punk pour la venue des mythiques Sham 69. Il a fallu jouer des coudes pour profiter pleinement du concert.

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CODY

Récemment découvert sur scène lors du Montreux Jazz Festival, CODY prouve son potentiel sur album avec une folk pop des grands airs. Ils détonnaient dans le paysage de la soirée exclusivement danoise - Spot Festival - au Jazz Café : avec son violoncelle et sa prestance remarquable, ce septet montrait clairement ses préférences vis à vis de ses honorables collègues, Kiss Kiss Kiss et Ginger Ninja. Le storytelling plutôt que le rythme, le temps arrêté plutôt que l’efficacité de la formation. CODY a toutefois le talent pour tenter telle aventure, si bien que ce premier album pourrait très bien être signé par un groupe de roublards américains taillant la route, coûte que coûte. Il y a de quoi être bluffé en effet : on jurerait entendre du Calexico par-ci, du Wilco par là. Mais aussi du Piers Faccini, comme quoi il est possible d’être européen et prétendre pouvoir façonner une musique du Sud.

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You Say Party We Say Die

You Say Party We Say Die, ou les maudits du rock électronique. Après leur interdiction de jouer aux Etats-Unis en 2006 et ce jusqu’en 2011, le groupe canadien peut maintenant se targuer de bien porter son nom. Tragiquement …En tournée pour ce troisième album « Xxxx », leur batteur Devon Clifford s’écroule en plein concert suite à un accident vasculaire cérébral. Il meurt deux jours après, le 18 avril dernier. Toujours pas de tournée américaine donc. L’européenne est elle aussi, pour cause, annulée. Cependant, ce dernier opus mérite notre concentration…musicale. La formation dance-punk de Vancouver revient avec un troisième essai plus abouti XXXX. Ou "Love", pour la traduction. Le tabou par procuration ? Encore et toujours un groupe de dance-rock reprenant les codes des années 80, ses synthés rétros et porté par une voix féminine forte (voir Chew Lips, New Young Pony Club, The Yeah Yeah Yeahs). La comparaison est, pour le coup, évidente : Siouxsie and the Banshees pour la voix, déjà, et le côté plus punk et dramatique que les confrères susmentionnés. Car la voix de Becky Ninkovic porte clairement ce côté inquiétant, révolté, à bout de souffle, proche du funeste parfois. Les dix titres composant l’album possèdent cette dichotomie affiliée à la new wave : dansant versus très grave. Non seulement dans les lyrics, qui se font plus matures, mais également dans cette alternance de tempos constante. Lignes de claviers glaçantes et riffs de guitares tranchants. Coincés dans un espace temps pile entre Joy Division et New Order. Peut-être aussi leur histoire récente est-elle étrangement liée à ce mélodrame omniprésent

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The Dodos

Pourquoi ne pas suivre le conseil des Dodos, « il est l’heure de mourir »… Oui, mais alors entouré de confettis, empreintes multicolores d’une marche funèbre qui a tourné au grandiose. Pour mieux se faire une idée de l’ambiance sonore, le titre d’ouverture du – déjà- 4ème album des californiens, Small Death : a priori sans véritable fond, simple ballade typiquement west coast pour mieux introduire une cavalcade mélancolique parcourant de multiples chemins, où immédiatement Logan Kreober – batteur – et surtout le chanteur Meric Long se distinguent. Le décor est planté et accroche insidieusement au fil des répétitions de la scène. Longform reprend le même procédé en créant toujours cette même confusion : grand œuvre ou redite informelle ? En prenant du recul sur l’objet en question, ce TIME TO DIE, pour ne pas le nommer, on apprend que les Dodos tenterait de refaire le coup du New Weird America, mouvement folk psychédélique des années 60-70, avec une invitation à la transe. Aux Etats-Unis, cela semble bien marcher, tout comme en France d’ailleurs. The Dodos sont hype, très hype. Et pourtant, comme dit précédemment, leur musique n’invite pas à la danse imminente. A ce propos, Fables, trop long étendu, est même carrément passable.

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The Dodos

Groupe indé américain, auteur l’an dernier d’un excellent disque, VISITER, quasi-unanimement encensé par la critique, The Dodos s’apprête à sortir un nouvel album, TIME TO DIE. Si le CD ne …

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Maria Taylor

À la première écoute de ce premier disque de Maria Taylor, nous avons l’impression d’avoir déjà entendu ces ballades sur la bande originale d’une série américaine pour adolescent du Style de Dawson (Creek) ou des Frères Scott. Cette première impression (…)

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Rocksound Festival 07

Huttwil se transforme en temple du vieux et mythique hardrock et heavy metal des années 80. Seuls les vestes en jeans à patches, pantalons moulant en cuir ou zébrés, ainsi que cheveux longs et moule-testicules seront acceptés. Préparez-vous à revivre des moments épiques! (Mais que sont allés faire les Favez là-dedans??)

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Feist revient!

Après le magnifique Let It Die, notre Canadienne favorite revient avec un nouvel album, The Reminder. Ci-dessous, un clip qui augure d’ores et déjà le meilleur pour l’effort à venir: …

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